UNE DERNIÈRE VIRÉE

Une porte défoncée de plus

Ou une infructueuse limite de moins

Là n’est plus la question

Dans ce fichu casino de la terreur

Aux tours de passe passe

Plus lents que la magie au ralenti

Dans les émissions de Lost Végasse

 

Je suis seulement ravi que

De l’ablation dans l’ordre du grandiose

Lors de la rengaine de tous les dérapages

 

Insoumis aux lois des blancs

Quand tout est dit

Que les comptes sont défaits

 

Sur le couvre-lit des pauvres

Que je ne suis pas le coupable

Des pertes de substance sociale

 

Je souhaite de tout cœur ma chérie

Qu’il me subsistera en poche

Suffisamment pour régler la note

 

Sur le cœur de l’épicerie

Et les couches du petit

Il se peut que je parte aujourd’hui

 

Il se peut tout aussi bien

Que je reste et que je sois

Désormais totalement parti

 

Ô ma douce mon embolie

Quand tes larmes couleront

Une fois de trop encore tu diras

Sur ma douleur d’âme sœur

 

À la méchanceté croissante

Et aux petits déjeuners sans herbe

Loin de la chaleur des croissants

 

Je suis un concubin ce qu’il y a

De plus ordinaire pas ta pute

Et mon cœur là dedans?

guimond- 6 Nov.07 – Mtl.

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