De l’éveil des ardeurs
Au tournoi criblé de passions
L’impossible à rassasier
Réajuste son tir
À l’aide de nœuds croulants
Pendant ce temps-là
Les crânes se vident en dérapant
Puis à coup de faisceaux inanimés
Les projectiles lumineux
Fracassent les rétines
Du plancher au plafond
Nous serons livrés un à un
Plus morts que vifs