Alors que nous nous immolerons
À notre cupidité propre
En l’an zéro sur terre, histoire de
Vivre chaque jour comme le dernier
La tempête dont on ne se remet pas
Vague souvenir du jour Après demain?
Moi non plus mes nerfs furent kidnappés
Décor de film made en ‘plywood’
Ça a débarqué inopiné de la glace en couches
Mastodonte trouvé mort dans la glace
Debout avec encore son sandwich au bec
Autant dire heure zéro sur terre, sans beurre
Comme si en suspension animée l’évolution
Jouerait le prochain coup de dés dans l’oeuf
Avec comme nutriments le détritus
Et les calamités que malgré nous nous méritons
Non sans l’aide d’un étranger des plus surprenants
Avec ses photo chopées sur le vif forcé dans le secret
Dans des laboratoires sous-terriens immenses
Des corps en masse sont prêts à être introduits
Pour un nouveau cycle de 300, 000 ans en surface
Mon âme saute son tour: Ouf!
Vous vous souvenez les siècles des cavernes
Moi non plus or je vous en convie
Regardez plutôt du côté du conduit
De ce tunnel interdimensionnel que nous créons
Quand nous nous unissons à ceux
Qui sont colinéaires à nous et ça
Peut prendre de nombreuses formes
Mais là le temps presse et l’an zéro
Souffle déjà sous nos portes alors
Accrochez-vous bien à ceux que vous avez
Resserrez les liens de votre toile
Parce que demain il va venter fort comme jamais
Mettez quelqu’un sur la marche en dessous
Sur l’échelle qui mène au miel
Pour Après demain je ne saurais dire
Il y aura enfin la paix sur cette planète
Alors que nous nous immolerons
À notre cupidité propre
En contrepartie, la nature se rebiffe:
En Mai des incendies se déclarent dans des endroits où la neige tombe a) à proximité, et b) plus au sud. Plusieurs énormes tempêtes de poussière étouffent des villes aux États-Unis, au Moyen-Orient et en Asie centrale, tandis que près du cercle arctique, le plus grand incendie de forêt en Alaska a consumé près de cent mille hectares.
Une vague de chaleur record a été enregistrée ce printemps dans le sud-ouest des États-Unis, combinée avec des incendies incroyablement destructeurs transformant San Diego en zone de guerre. Cent cinquante mille personnes ont été forcées d’évacuer leurs habitations alors que des « tornades de feu » enflammaient les banlieues.
D’incroyables quantités de grêlons se sont déversées sur la ville tropicale de Sao Paulo au Brésil, ainsi qu’en différentes régions des États-Unis, tandis que des records de pluviométrie ont fini par inonder différents lieux aux États-Unis, au Moyen-Orient, dans le sud de la Chine, en Afrique et en Europe. De spectaculaires orages électriques ont balayé les États-Unis et l’Europe, tandis que trois mille orages frappaient les Balkans à la suite des pires inondations jamais enregistrées, et un terrifiant « double glissement de terrain » en Afghanistan a enterré vivantes deux mille sept cents personnes.
Allons-nous voir Décembre? Les politiques continuent de jouer au chat et à la souris pour occuper les médias mais qu’en est-il vraiment de cette neige et grêle partout en plein été?
Les médias de masse tourneboulent le public avec leurs ‘experts’ et autres pressetituées remâchant leur message de peur et de division CAR sans savoir pourquoi, inconsciemment, les hauts échelons du pouvoir sentent la venue de la justice cosmique comme si la queue du diable leur frottait dans le dos! C’est ce qui les pousse, encore une fois, de manière aveugle, il suffit de voir leurs courantes erreurs de calcul.
DanleMiel,
Longueuil 27 juin 14
Et moi je trouve le soleil blanc. Plus blanc que jamais…
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les signes s’accumulent Denise, il est temps de connecter les points, et de nous unir!
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