« Je tombai endormi. Et je vois dans mon sommeil un homoncule muni d’un rasoir, vêtu d’une robe rouge et d’un habit royal, se tenant en dehors des châtiments. Il me dit : ‘Que faites-vous, Monsieur ?’. Je lui répondis : ‘Je me trouve ici parce que, m’étant écarté de tout chemin, je suis en train d’errer.' »- Zoisme de Panopolis

Ce sera un ultime mardi
Une nuit des plus ordinaires
Du mois de Morse de l’An Zéro
De l’An Zéro sur terre que
Les êtres immondes du Livre
De la Création les Golem
Viendront nous rendre visite
À la solde d’un vilain marionettiste

Ces bêtes d’outretombe
Des phéonix et hommes-papillons
Descendus droit du fiel
Défonceront le voile précaire
Apparassant ici et là en trombe
Sombrant directement des mystères
Venus ici renforcer notre misère
Ils seront légion à faire trembler
Autant de mal informés que d’athés

À la lisière des autres monde
Au plus clair de la nuit
Depuis leurs vaisseaux
Dissimulés en nuages
Ils marcheront à travers les villes
Les petites routes et les contrés
À la rencontre des non-croyants
À la recherche de quelque type
Descendu là probablement
Pour draguer par exemple

D’autres créatures pendant ce temps
Survoleront nos maisons
Les buildings ainsi que les parcs hantant
Les squares de villages et terrains vagues
Bien dissimulés dans leur densité
Proche de la nôtre quoi que
Plus élevée que sur l’échelle
Cosmique des degrés

Ils pourront se mouvoir dans notre réalité
Sans pour autant être repérés
Par nulle autre que la cible
Une personne souvent décrite
Dans les vieux ouvrages tels que la Bible
Comme une victime simplement naïve
Car nous revenons au même point
Sur la boucle temporelle

Nous sommes dans un histoire de Noé
Avant la crue des grandes eaux
Tel que couramment enregistré et
Que nous voyons sur Youtube
À travers le monde sur les villes monter
Et tout sur son passage dévaster
De l’Amérisques et périls
Jusqu’au Moyen-Orient d’antan

Pendant que l’Europe ravive
Des souvenirs des camps
Que l’Allemagne se prépare
À rejouer la scène de la solution finale
Avec l’autre branche des sémites
Cette fois bons pour la marmite
Ces migrants au flux patenté
Pour déstabiliser la zone Euro
Par les tarés du Pentagone
Avec l’aide de Kabbalistes
Ou d’un Mossad de l’ombre
Si vous préférez

Moi perso ça m’est égal
Car j’ai eu ma dose de gris
De verts et de petis gris
Qui partout sur cette planète
Depuis l’enfance m’ont suivi
J’ai même des photos à l’appui
De leurs véhicules volants
Jouant à cache-cache
Dans leurs déguisements lenticulaires
Jusqu’aux souvenirs tronqués
À la racine du mépris

Que je traîne tel un boulet
Depuis mon enfance d’incompris
Jusqu’aux dessins de mes fils
Au matin terrorisés par leurs expériences
Durant la précédente nuit
De mon demi-siècle ici-bas
J’aurai retenu que la réalité
N’est pas la même pour deux personnes
Ne verront jamais la même chose
Pourtant il y a un seul amour
Une unique vérité tout une seule
Et même chose: l’Amour
À croire ce que l’on m’en dit
Sans disjoncter ni mendier pour autant

Parole de prophète Zéta-Réticulien
Loin des hypothèses sur les ET
La certitude de ne pas être au sommet
De la chaîne alimentaire et se taire
Puisque ce qui ne nous tue pas
Nous rend innénarablement plus fort
Jamais pour de bon nous ne perdons
Car tout est ici à gagner
Telle un trophée ou un prix
Pour avoir assimilé sa leçon
Sans laisser l’inconnu nous abattre
Ni les gros méchants nous achever
À la pelle ni à coups de batte

Seule la connaissance protège
Or, l’ignorance met en danger
En ces temps pour le moins incertains
L’ignorance, la peur du ridicule
Et la paresse qui manque de curiosité
Vous met en grand danger
Si l’on se fie à Carl Gustav Jung
De Paraclese au comte Jean-Ferdinand Kueffstein
L’Apocalipse est une guerre
Qui se vit à travers nous
Non pas là-bas comme la guerre
Inhumaine ou aux alentours du stade
Elle nous traverse comme une armée
D’Homoncules de tout acabit
Terrasserait une nation
Juste pour le plaisir de jouir
De notre souffrance bien tangible

Si Elisa Lam avait eu la connaissance
Elle aurait compris de quoi il s’agissait
Et aurait peut-être pu se protéger
Avant de transiger dans l’espace-temps
Pour être retrouvée
Dans une citerne d’eau potable inaccessible
Sur le toit de l’Hôtel Cecil
À Los Angeles en 2013.

« Les derniers moments de Lam ont été filmés par une caméra de sécurité de l’hôtel placée dans l’ascenseur. Les séquences que je vous envoie ont été prises quelques moments avant sa mort. Dedans vous verrez Lam agir très bizarrement. Gardez à l’esprit qu’aucune trace de drogue et d’alcool a été trouvée dans son corps. Elle semble fuir ou se cacher de quelqu’un, ou quelque chose. Ce qui est le plus étrange à propos de la vidéo, c’est que la porte de l’ascenseur reste ouverte pendant toute la période, près de quatre minutes. Ensuite, Lam se contorsionne d’une certaine façon vraiment effrayante qui doit être vue pour être vraiment décrite, et la porte de l’ascenseur se ferme. Puis la porte s’ouvre et se ferme plusieurs fois avant la fin de la vidéo. Regardez les vidéos et je vous dirais comment l’histoire devient encore plus glauque.

Un agent d’entretien a découvert le corps alors qu’il enquêtait sur des plaintes à propos de la pression de l’eau dans le bâtiment. Les clients ont bu et se sont baignés dans de l’eau contaminée par un corps qui était en décomposition depuis plus de deux semaines. Donc comment elle s’est retrouvée là? La citerne au sommet du bâtiment fait 4 mètres de haut et est bouclée. Pour y avoir accès Lam aurait tout d’abord du passer par deux portes verrouillées et sécurisées. Apparemment c’est ce qu’elle a fait. Toutes les portes étaient encore fermées. Aucune alarme n’a été déclenchée. Il y a des centaines d’histoires en rapport à ça sur l’internet rapportées par toutes les agences de presse notables qui existent. Certaines personnes pensent qu’elle était possédée ou qu’elle a été attaqué par un fantôme. Si c’est le cas alors ce sont les seules séquences d’un tel évènement. » – Source: La Mystérieuse Mort de la Canadienne Elisa Lam