« Si je ne suis pas pour moi,
Qui le sera, et quand » – הלל הזקן
Hillel Hazakem
Ces temps que j’ai tant attendu
Soufflent enfin leur venin sous ma porte
Tout à l’heure il va venter fort fort
Et beaucoup de poux vont se faire emporter
Par la tourmente qui gronde
Les éclairs qui vrillent le ciel
En plâtre lézardé de miel auto-adhésif
Les autres petites abeilles
De la ruche que je squatte
Mènent une bisbille de l’enfer sans climatiseur
Je vois bien que tout aurait du péter
Avant-hier mais je n’étais pas prêt
Pas tout à fait prêt or là
Ça y est, j’ai rechargé le calibre de beats
Acrocheurs et mon catalog instrumental
Buzz de visiteurs curieux
De savoir pourquoi toute cette activité?
Ils tournent autour du poteau de l’écran
Alors que leur laisse rapetisse et
Qu’ils commencent à trouver cela étouffant
Je voudrais pourtant les réconforter
Mais il n’y en pas un pour sauver l’autre
Je vaque donc à mes petites occupations
Saines et constructives
Comme on reconstruirait les Tours
Sur Manhattan en mémoire
De notre ignorance crasse…
DanleMiel, pas Charlie, ni même Charlot!
Un vent ne chasse pas un autre…Il s’y rajoute! et je sens bien l’odeur…de plus en plus nauséabonde…mais promis! ce soir, je me lave!
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Contrep%C3%A8terie
L’art du pet et du contrepet (était comme le verlang de la fin du Moyen-Äge, que les artistocrates utilisaient pour se moquer des sans éducation et autres sans dents selon votre humble serviteur François X-13(sourire)
La contrepèterie ou le contrepet est un jeu de mots consistant à permuter certains phonèmes, lettres ou syllabes d’une phrase afin d’en obtenir une nouvelle, présentant souvent un sens indécent masqué par l’apparente innocence de la phrase initiale. Jusqu’au début du XXe siècle, les termes antistrophe et équivoque étaient également employés comme synonymes. Joël Martin se plaît à définir le contrepet comme « l’art de décaler les sons que débite notre bouche », cette définition étant elle-même une contrepèterie (« L’art de dessaler les cons que débouche notre bite »)1.
Afin de distinguer la contrepèterie d’autres jeux sur les mots, tels que l’anagramme, l’usage la définit formellement comme une permutation des lettres ou des sons obtenue par produit de transpositions à supports disjoints. Ceci exclut notamment « Le groupe affine » de la classe des contrepèteries (on obtient « Le gouffre à pines » à partir d’un 3-cycle).
Exemple : « Le tailleur est submergé sous les amas de patentes »2 devient, en permutant les sons P et M : « Le tailleur est submergé sous les appas de ma tante ».
L’usage veut qu’on ne donne jamais la solution d’une contrepèterie, chacun devant la trouver lui-même. On dit qu’il faut être trois pour apprécier une contrepèterie : celui qui l’énonce, celui qui la comprend, et celui qui ne la comprend pas3.
Notons bien que c’est le son et non l’orthographe qui compte, et cette correspondance phonétique doit être stricte. Ainsi, la confusion entre les phonèmes /ʒ/ et /g/ rend douteuse la phrase « ne pas connaître d’orgie sous un tel marasme » (Ne pas connaître d’orgasme sous un tel mari)4. De même, des cas tels que « J’ai une engelure qui m’empêche de fuir ! »4 restent exceptionnels. Et l’on ne saurait admettre « Le ministre des finances trouve toutes les baisses faisables », épinglée (mais publiée) par Le Canard enchaîné, ni une autre qui lui a échappé : « On voyait la ribaude de la tente aux festons » puisque « teston » en ancien français n’a jamais été confondu avec « téton ».
Le journal Le Canard enchaîné est célèbre pour sa sélection hebdomadaire de contrepèteries dans la rubrique intitulée Sur l’Album de la Comtesse. Créée par Yvan Audouard en 1951, elle fut notamment reprise par Henri Monier à partir de 1955, puis par Luc Étienne à partir de 1957 et enfin par Joël Martin depuis 19845.
etcetc
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