PLANDÉMIE: Les appels au « pardon » semblent malhonnêtes – The Highwire avec DEL BIGTREE

Alors que les mensonges de COVID sont maintenant exposés à une vitesse exponentielle, certains de ceux qui se sont trompés deviennent nerveux – si nerveux, en fait, qu’ils plaident maintenant pour que le passé soit passé.

Le magazine THE ATLANTIC a été critiqué pour avoir suggéré que toutes les terribles décisions de l’ère pandémique concernant les verrouillages, les fermetures d’écoles, le masquage et la punition de toute une classe de personnes qui remettaient en question l’efficacité et la sagesse de prendre un vaccin expérimental précipité – pour un virus avec un 99% de taux de survie dans la plupart – devrait être de l’eau sous le pont.

L’économiste de l’Université Brown, Emily Oster, écrit dans The Atlantic, 2 « Nous devons nous pardonner mutuellement pour ce que nous avons fait et dit lorsque nous étions dans le noir à propos de COVID. » Brendon Marotta dans son Substack Hegemon Media 3 raconte : « Je crois que les auteurs demandent pardon parce qu’ils craignent une justice punitive. Si les auteurs étaient tenus responsables dans notre système judiciaire actuel, l’ampleur des actes répréhensibles entraînerait des sanctions que les auteurs ne pourraient supporter. Ces punitions ne rendraient rien non plus à ceux qui ont perdu leur emploi, leur entreprise, leurs amis, leur famille, leur santé ou leur liberté. Et s’il y avait un autre moyen qui serait meilleur pour les victimes et les auteurs ? Les méfaits de la pandémie n’ont pas été reconnus. Les responsables ne se sont pas excusés.

Les appels au « pardon » semblent malhonnêtes lorsque les responsables ne se sont pas excusés, ce qui est généralement une condition préalable à la demande de pardon. Créer de l’équité signifierait prendre les gains mal acquis des auteurs et les redistribuer aux personnes qui ont perdu leur emploi et leur entreprise pendant la pandémie. En bref, cela signifierait des réparations. L’équité n’est pas qu’une question d’argent.

Les pertes pendant la pandémie n’étaient pas seulement financières. Les gens perdent leurs amis, leur famille et leurs libertés. Une grande partie du mal causé était culturelle, émotionnelle et sociale. Aucune somme d’argent ne peut remplacer la possibilité de faire le deuil en personne lors des funérailles d’un être cher. » Le plaidoyer d’Oster pour la décence qu’elle et les médias grand public et les responsables de la santé publique n’ont pas offert aux Américains pendant les affres de la pandémie arrive à un moment où le récit COVID a été pratiquement perdu par l’administration actuelle et les médias grand public.

Même si votre anglais est approximatif je vous conseille l’émission de DEL BIGTREE – HIGHWIRE. Vous comprendrez tout!

Ponérologie et servitude volontaire ou la maladie politique du parasitisme organisé

NOTE DES ÉDITEURS : L’article original datant du 6 mai 2017 a été augmenté de plusieurs commentaires. SOURCE: https://fr.sott.net/article/30567-Ponerologie-et-servitude-volontaire-ou-la-maladie-politique-du-parasitisme-organise#

Cet article a été rédigé à la suite d’un premier billet exposant le concept de ponérologie, d’Andrzej Lobaczewski, publié en décembre 2015. Plusieurs événements m’ont fait retarder sa parution (l’urgence écologique actuelle nécessitant l’écriture d’un livre et la préparation de plusieurs suites tant sont nombreux ceux qui ont encore du mal à comprendre la folie du système dans lequel nous baignons).

POUR LIRE SUR: DARKWINTER: https://entretiensentresoi.wordpress.com/

De Farcebook à Gaargle

En corps et en cadres
De plywood made in Hollywood
Et du pain et des jeux
De Farcebook à Gaargle
Les pressetituées des Merdias
De Mars nous télédéchargent
Leur massage identitaire
En ronds de fumée
Au mois de morse
De l’An Un sur Tarte
(la planète terre est-elle plate?
Ou je m’emmêle dans la pelotte?)
De laine mon chandail favori
Lui qu’est tatoué tel un Maori
Alors que les ambulances
Reculent dans le savon d’abattoir
Des danseuses toutes nutes
Fûment nos pipes à Hachette
Et Gramillard me saigne un tchèque
Tes pitons mon morpion favori
J’ai pas encore commencé
À me retarder sur ton cas
Tu crééra pas ça de’t’à l’heure
Regarde donc sur ton téléphone
Si je serais pas déja dans ta carte
De crédit volé en BéAimeDoubleV
Avec deux trois gars qui chantent
Des osti de platitudes pour les clientes
Du Club des morons en vacances
Permanentes pour cause
D’une infirmité du cerveau
Génétique familliale et à la mode
De chez-nous prends surtout
‘Toutes’ tes médicaments mon tannant!
Dans le Miel (ou DanleMiel pas un film des Charlots)
Pour les durs de comprenure
Et les chanteuses de Crap à gogo
Et autres diseuses de mal aventure
Nommées Brune le sociopathe
Malade et fort dangereux
Ainsi que le sceau dans philo-aime mais de loin
Mon Python de sarpent à sornettes
Exploiteur de vieilles dames
Sur le bord de la traite fermée
Mères esseulées et anciennes blondes
Aux tifs noir comme le soir
Ou aurais-je mieux fait d’écrire SWATT
Des always open closed
Comme ma porte dans la face
Des ti-crass à crassquettes
À l’envers tant que possible
Jusqu’à ce que la Tarte ne s’ouvre
Et nous déploie tous ses diamants
Et secrets au grand air du jour
Qui ne se lèvera pas pendant trois
Loooongues nuits vérifie ton stock
De Krafty Dinner Chef Boyardee
Passsque la Lune te jour des tours
De chapot et de poney dans le ciboulot
Ma blette en plastic fondu
Comme le fromage Suisse
En croque mitaine sous ton lit
Marci
On se rappelle Lindi Yo
Le Gros
Le king d’en haut
Ta sacrétaire as-tu toute noté?

leMiel_Dan
Frontalepoésie

J’irai Crever dans un Champ

Nous crèverons les filtres

Défoncerons les cohues

Écraserons nos vices

Dans la liberté qui elle

Se creuse par le dedans

Quand la lumière s’insinue


Nous avalerons du bitume

Chiant de l »asphalte

Par tous les trous

Qui seuls nous restent

Dans l’ordonnance

Des micro-pucelles injectées

Aux résistants las


Nous marcherons à travers

La nuit

De notre chaos inspiré

Par le besoin de se trouver

Une veine

Pour shooter notre fin

Dans la face de Dieu.

Le Bruit des Bottes

Je lis entre les lignes

En attendant le débarquement

Je regarde les micros

Au plafond des stations de métro

Je vois de faux sans-abris

Déclencher les feux de signalisation

Je me laisse suivre à la trace

Par la puce sur ma carte

Je m’éloigne du Centre

En attendant l’implosion

Une oreille contre le carrelage

J’écoutte la détonation

Le claquement des bottes

Avant-coureur du débarquement

Avec un sourire jaune

Au nord de mon corps

Qui se regénère

Alors que pourtant

J’affiche mon demi-siècle

De quête de Vérité

De celle qui ne se dit pas toute

Quand on nous inflige les vaccins

Destinés à stériliser nos fils

Je regarde les avions

Nous asperger de métaux légers

Et je hurle dans mon portable

Que l’on vienne me décimer


Pendant ce temps-là

Les robots informatiques

Du Ministère de la Défonce

Analysent mon cas

Des envoyés musclés

Passent leurs temps

Sous ma fenêtre

Partout ou je vais

Ils sont déjà rendus

Et je ne m’en fais plus

Pour les puces RFID

Qu’ils glissent dans mes vêtements

J’attends que Radio_Kanatata

Me berce de nouvelles illusions

Que les marionettes au pouvoir

Cette mascarade pour les branchés médias

Reçcoivent l’ordre de leur boss

L’O.N.U. sans chair et sans os

De nous exterminer en masse et en saison

Car la chasse à l’humanité est ouverte

La Guerre Totale contre tout ce qui réfléchit

Ha bon, c’est ça la Vie!!!