LA NATURE DE LA VÉRITÉ

« Nous sommes tellement imprégnés de rêves et perdus dans nos réflexions que nous ne reconnaissons même pas les faits nus tels qu’ils sont et la Vérité est au-delà de notre conception, au-delà de toute pensée.

La vérité ne peut pas être connue avant que vous ne la réalisiez réellement.

La Vérité ne peut pas être enseignée, mais la méthode pour connaître la vérité le peut.

La Vérité ne peut pas être pensée – elle est vue, réalisée.

La vérité est toujours présente si seulement le moi a des yeux pour la voir.

La vérité ne peut être connue que lorsque nous ne faisons qu’un avec la Réalité.

La réalisation de la Vérité ne se produit que lorsque l’on est totalement libre

La vérité est la plus grande chirurgie qui existe.

Et ceux qui sont les souverains, qu’ils soient de royaumes ou de richesse ou de religion ; ceux qui exercent le pouvoir, quel qu’il soit, sont mécontents de la Vérité, car le pouvoir est toujours installé sur le trône du faux.

Nous ne pouvons pas nous attendre à entendre la vérité de si tôt de la part des narcopathes mondialistes, ou de tous les politiciens attardés du monde entier, car ils ne savent pas quelle est la vérité.

Ils veulent seulement que vous restiez à jamais piégés dans l’esprit collectif inconscient de la ruche, ils ne veulent pas que vous soyez des individus intelligents et libres.

Leur idée même de domination, leur désir même d’être puissants sur les autres montrent leur pauvreté d’âme.

Cela montre qu’ils n’ont pas de pouvoir sur eux-mêmes, d’où le désir d’avoir un pouvoir absolu sur les autres.

Vivre sans se connaître est le vrai suicide.

La société ne s’intéresse pas aux gens intelligents, la société ne veut pas que vous soyez intelligent.

La société veut que vous soyez médiocre parce qu’il est facile d’asservir la personne médiocre.

C’est facile pour les manipulateurs, et ils sont nombreux – les globalistes, les politiciens, les soi-disant experts, les docteurs vaudous, les journalistes, les soi-disant éducateurs, ce sont tous des manipulateurs, il leur est facile de vous manipuler si vous n’avez pas d’intelligence, parce que vous êtes obligé de dépendre d’eux, vous devez dépendre d’eux.

Vous devez toujours vous tourner vers eux pour obtenir des conseils.

Mais, vous n’avez besoin de leaders que si vous n’êtes pas intelligent.

Vous aurez toujours peur des gens puissants si vous pensez qu’ils en savent plus, alors qu’en réalité ils ne savent rien de la vraie valeur.

Vous serez continuellement dans la peur.

La société fonctionne de cette manière : tout le système éducatif est créé non pas pour vous servir mais pour servir les intérêts acquis.

De la maternelle à l’université, ils servent les intérêts acquis, mais ils vous rendent de plus en plus stupides.

Les personnes intelligentes dépendent de leurs propres idées, elles font confiance à leur propre être.

Ils s’aiment et se respectent.

La personne inintelligente respecte les autres.

Ces soi-disant dirigeants, les médias, les hypocrites, les menteurs, les criminels.

Pouvez-vous voir le point?

Pourquoi les intérêts acquis sont-ils intéressés à créer de la stupidité ?

Parce que c’est la seule façon pour eux d’être respectés.

L’obéissance vous a été imposée comme une grande valeur, ce n’est pas une grande valeur.

C’est l’une des causes fondamentales de la destruction de votre intelligence.

Sois honnête avec toi-même.

Votre seule responsabilité est envers vous-même et envers personne d’autre.

Une personne intelligente risque tout.

Ils seront prêts à mourir plutôt qu’à faire des compromis. »

(pas moi qui vous l’a dit…)

Aveugles Devant la Création

Las et fatigué de gueuler
Crevé comme un tympan
Devant un boom sonique
Que personne ne perçoit
Car cela nuit au luxe
Du silence de sourd
Imposé et maintenu
Comme statu quo
De victimes en crise
De bourreaux

Pas un pour sauver l’autre
Alors que tout
Fout le camp
Et que le ravin
Juste sous nos pieds
Prend des airs de vacances
Tranché telle jugulaire
Dans le sang
Qui coagule
À mes lèvres

Écoeuré d’entendre parler
Que de Téléinfirmerie E.T.
Alors que les molécules
De nos êtres se désagrègent
Abattu par le trou
D’une nonchalance
Si programmée depuis l’enfance
Que seula la fiction
Du confort stérile
Et tellement superficiel
Ne tient lieu de réalité

Dégoutté de voir
Personne réagir
Devant le génocide
Auto-proclâmé
De toute valeur humaine
Vide de larmes
Devant le journal
Des atrocités commises
Contre de l’Air

Écrasé par l’ignorance
De notre propre sens
Pourtant rempli
Des caresses de l’esprit
Qui coule de la Création
Tourneboulé par la peur
De faire face
À son propre miroir
Comme si cela était
Au-dessus de nos forces
De se responsabiliser
Intégralement
Et de remettre les horloges
À l’heure du renouveau
Par la fracture totale
Irrémédiable
Et sans conditions

Je ne crois pas au monde
Ni à votre humanité
Telle qu’elle se déploie
Toute carences et déni
Confondus

Tout étant tellement différent
Depuis que je sais savoir
Que je me tue à vous le secouer
Dans le crâne
Incapable de se resaisir
Devant sa propre débilité
Sa paresse devenue congénitale
Son refus de marcher debout
Telle une pensée qui se pense

Seul hélas et à jamais
Dans mes retranchements
Sur la seule voie
Qui reste possible
Devant le réel
Et son impossibilité
Technique

Je sais pourtant
Que je suis…

De la même façon, il n’est pas nécessaire de déterminer tout ce qui est nécessaire à la réalisation d’un désir. Il suffit d’identifier le désir et d’y ajouter le montant minimal de coopération focalisée requis pour mettre le processus en mouvement pendant que vous soutenez l’intention de faire l’expérience du désir. On dit souvent qu’une personne a besoin d’être certaine qu’elle veut ce qu’elle pense qu’elle veut. Bien des gens ont souvenance de pensées ou de déclarations fortuites qui leur ont apporté des expériences aux conséquences inattendues. L’aspect créatif qui nous habite écoute et prend les pensées et les déclarations dans leur sens littéral, surtout si l’intention momentanée est sincère et supportée par un élan émotif.


Revenir d’Exil

 » Revenir d’exil comporte des risques

Comme planter une aiguille… dans un vieux disque

… Au moins si le vent

Pouvait se lever

Au moins Je saurais

Par où aller  »

Richard Desjardins


Retour d’exil

Les deux épaules contre le bois franc

Le péteux sur la tempe

Dans la salle de presse

Je prends ma décision peut-être finale

Le 4-5-0 gagne

Au pays des référendum accidentés

Comme un tout nu

La poche entre les mains

Je rentre en me faufilant

Serpent qui se repose

Entre les arbitres

Pendant qu’il fait chaud

L’hiver a chrissé son camp

Pas dur à croire

À voir les filles qui prouvent

Avec le strip d’un coup sec

Que le nouveau taux d’humidité

Entre les slow qui trainent

Collés comme des gommes bazooka

Et des horribles souvenirs

De pénitencier

Et de l’hiver du verglas

Que rien ne retourne à rien

Puisque rien ne vient de rien

Il est grand temps d’organiser

Une réunion

D’égo à égo.

Longueuil, 25.06.08