Suite au silence

Suite au silence  radieux

De nos espoirs catapultés

Notre amour de traverse

Ce désir sans adresse fixe

A rencontré le détour

Des besoins en manque de soins

En thérapie contre la charpie

De tes choix de pur désarroi

Qui font pourtant ici

La Loi

La Loi ma foie au dur recours

D’une maladie non pas de l’amour

Qu’est facile à confondre

Avec la tignasse de crasse

Avant que de la tondre

Sinon que de nous morfondre

À gueuler sur le boulevard

Que tous les autres se trompent

Tels des éléphants

Qui sans s’entendre en rendre compte

Partent au vent

Des éléphants roses ou verts

Qui parachutent dans le salon

Ou les cerfs volant

Dans la noire nuit

Du soliloque en pure bullshit

Qui en langue imaginaire

Va nous chier un hit

Heu, je voulus dire torcher

De passé simple

En présent décomposé

Pour des billes de bulles

De pus capable de te

Ne serait-ce que ressentir

Un gramme de paille d’avenir

Car quand le présent devient impossible

Il sera désormais difficile

De concevoir l’avenir comme

Cible…

 

 

 

Tel En Haut Tel En Bas – DanleMiel

Tel en haut tel en bas
Il y a le jour il y a le noir

tel en haut tel en bas
nos actes sont le résultat
de nos pensées
parsemées dans du future

de l’autre côté du mur
alors que ce sont les âmes
qui comptent
et non les corps

il y a un seul amour
une unique vérité
deux personnes
ne verront jamais la même chose
mais tout est infiniment unitaire

tel en haut tel en bas
tel en haut tel en bas

mystère et boule d’opium
dans la fumée je perçois
suspendu dans l’air
un écran pour la leçon

au collège invisible
l’univers se résume
en deux divisions
l’énergie totale
suivie de sa perception

imaginez deux étincelles
une grande qui semble quasiment une étoile
contenir tout le potentiel d’énergie

en haut tout en haut
innommable vide
au-dessus de la grille
par où le courant passe

pour que les étincelles
cascadent en triant les atômes
pour la cascade quand
l’information se fait matière

Tel en haut tel en bas
Tel en haut tel en bas

Les visages
En tête d’épingle
De l’âme aux idées
Ballet d’étincelles
À souffle coupé
Les qui mènent
Au pied du mur
Sinon refaire
L’amour avec
Un marteau

Du domaine
Invisible surgit
L’indivisible
L’essence
À peine gonflée
Les orteils ensanglantés
Dans l’enchevêtrement
Moléculaire
Avant le transfert
Des sodomites
Sur les chaînes
D’improduction
(souris quoi?!)
Au total assemblage
De toute dispersion

La porte à la
Prochaine densité
Nous redessinera
Le portrait-robot
Aux barbelées
Du temps campé
À ras l’espace
Pourvu que
La signature
Nucléaire
En quatrième fréquence
Tienne le coup
Yeux grands ouverts

Tel en haut tel en bas
La clarté du jour
Écarte les lampadaires
Transmet son accès de chair

Non mais c’est quoi ça?
Tu me fais la gueule ou pas?

DanleMiel
16 septembre

Tuer le temps

As-tu le temps As-tu le temps
As-tu le temps de t’arrêter
As-tu le temps d’écouter
As-tu le temps d’entendre
As-tu le temps d’apprendre
As-tu le temps As-tu le temps
Oui as-tu le temps As-tu le temps
D’attendre

Regarde bien autour de toi
Le monde est sur le point de se noyer
As-tu le temps As-tu le temps

Te reste-t’il le temps de tuer
Le temps?
Ou est-ce que l’urgence a déjà
Fait tilter tes alarmes
Et le feu embrase maintenant
Tout ce qui était mesurable
Depuis la facette invisible
De ce monde ô combien
Indivisible?

DanleMiel

 

An zéro sur terre

Alors que nous nous immolerons
À notre cupidité propre

En l’an zéro sur terre, histoire de
Vivre chaque jour comme le dernier

La tempête dont on ne se remet pas
Vague souvenir du jour Après demain?

Moi non plus mes nerfs furent kidnappés
Décor de film made en ‘plywood’

Ça a débarqué inopiné de la glace en couches
Mastodonte trouvé mort dans la glace

Debout avec encore son sandwich au bec
Autant dire heure zéro sur terre, sans beurre

Comme si en suspension animée l’évolution
Jouerait le prochain coup de dés dans l’oeuf

Avec comme nutriments le détritus
Et les calamités que malgré nous nous méritons

Non sans l’aide d’un étranger des plus surprenants
Avec ses photo chopées sur le vif forcé dans le secret

Dans des laboratoires sous-terriens immenses
Des corps en masse sont prêts à être introduits

Pour un nouveau cycle de 300, 000 ans en surface
Mon âme saute son tour: Ouf!

Vous vous souvenez les siècles des cavernes
Moi non plus or je vous en convie

Regardez plutôt du côté du conduit
De ce tunnel interdimensionnel que nous créons

Quand nous nous unissons à ceux
Qui sont colinéaires à nous et ça

Peut prendre de nombreuses formes
Mais là le temps presse et l’an zéro

Souffle déjà sous nos portes alors
Accrochez-vous bien à ceux que vous avez

Resserrez les liens de votre toile
Parce que demain il va venter fort comme jamais

Mettez quelqu’un sur la marche en dessous
Sur l’échelle qui mène au miel

Pour Après demain je ne saurais dire
Il y aura enfin la paix sur cette planète

Alors que nous nous immolerons
À notre cupidité propre

En contrepartie, la nature se rebiffe:

En Mai des incendies se déclarent dans des endroits où la neige tombe a) à proximité, et b) plus au sud. Plusieurs énormes tempêtes de poussière étouffent des villes aux États-Unis, au Moyen-Orient et en Asie centrale, tandis que près du cercle arctique, le plus grand incendie de forêt en Alaska a consumé près de cent mille hectares.

Une vague de chaleur record a été enregistrée ce printemps dans le sud-ouest des États-Unis, combinée avec des incendies incroyablement destructeurs transformant San Diego en zone de guerre. Cent cinquante mille personnes ont été forcées d’évacuer leurs habitations alors que des « tornades de feu » enflammaient les banlieues.

D’incroyables quantités de grêlons se sont déversées sur la ville tropicale de Sao Paulo au Brésil, ainsi qu’en différentes régions des États-Unis, tandis que des records de pluviométrie ont fini par inonder différents lieux aux États-Unis, au Moyen-Orient, dans le sud de la Chine, en Afrique et en Europe. De spectaculaires orages électriques ont balayé les États-Unis et l’Europe, tandis que trois mille orages frappaient les Balkans à la suite des pires inondations jamais enregistrées, et un terrifiant « double glissement de terrain » en Afghanistan a enterré vivantes deux mille sept cents personnes.

Allons-nous voir Décembre? Les politiques continuent de jouer au chat et à la souris pour occuper les médias mais qu’en est-il vraiment de cette neige et grêle partout en plein été?

Les médias de masse tourneboulent le public avec leurs ‘experts’ et autres pressetituées remâchant leur message de peur et de division CAR sans savoir pourquoi, inconsciemment, les hauts échelons du pouvoir sentent la venue de la justice cosmique comme si la queue du diable leur frottait dans le dos! C’est ce qui les pousse, encore une fois, de manière aveugle, il suffit de voir leurs courantes erreurs de calcul.


DanleMiel,
Longueuil 27 juin 14

Tout est sous contrôle -danleMiel

« La vérité est comme le soleil. On peut la bloquer un temps, mais elle ne disparaîtra pas » – Elvis Presley

Sauf pour ce qui chute
Depuis le fin fond de l’espace
Aussi régulièrement qu’un cadran
Dont les aiguilles pointent vers des météorites
Ainsi que le calendrier balisé
De soubresauts cométaires mal cachés
La déplorable raison qui n’en est pas une
Pour les exercices de campagnes militaires

Pour le déploiement tous azimuts
Des batteries anti-missile caduques
Guidées par satellites OTAN le savoir
Non pas pour anéantir Moscou
Ou Washington alors que les ogives
Ciblent régulièrement des engins
Non-identifiables depuis l’espace
Par les ruches de fiel interposées
Dans lesquelles sont progressivement
Canalisés tous les avoirs des économies
Et quand on a besoin de nous violer
Encore une couche la guerre froide
Se réchauffe les bons deviennent
Les méchants pourvu que le cirque continue

Tout semble authentiquement
Identifier ce qui s’apprête
À nous chier dessus de l’en-haut
Le reste n’a toujours été
Que du pain et des jeux
Pour ceux qui jouent le rôle de dieux
Tu aimes bien les jeux n’est-ce pas
Le moment présent t’obligera
À maîtriser celui de la vie
Une bonne fois pour toutes

L’âme compte et non pas les corps
Tout est le film que ‘tu’ te réalise
Les figurants, surtout ceux
Que tu ne peux alors là pas blairer
Sont des reflets de qualités
Que tu as en ton âme
Et pas seulement les positives

Nous sommes tous préprogrammés
Dans nos ordinateurs corporels
Pour atteindre la connaissance
Et nos leçons ne sont pas si complexes
Pourtant nous continuons
De faire le mauvais choix

Le réel grand format holographique
Si cher de ta peau payé
Va sous peu de partout se dessouder
La terre même commence à s’ouvrir
De toute part les dolines avalent les voitures
Alors que le temps fait disparaître
Des avions sous haute tension

Les serpents à sornettes vont
S’intermoléculariser entre nous
En empruntant des corps-costards
Imbus d’eux-même au pouvoir
Ce sera une invasion de robots
Sous nos regards incrédules de borgnes
Ils vont singer l’ordre d’abattre
Beaucoup de pauvres mal informés
Au nom de leur crédulité infirme

Dans quelques mois les dés indiqueront
Goodbye la propriété privée bienvenue
Fin du dollar saisi de nos comptes bancaires
Visa 666 en puce sous-cutanée
Il sera trop tard en définitive pour quitter
La ville le comté le pays la planète

Il sera toujours trop tard en ce sens que
Il n’est pas facile facile de mourir
Et ce n’est pas faute d’avoir tenté le coup
C’est inaltérablement qui tu es, ‘ ce que tu es’
Et pas ta location géographique
Ni ton état de santé physique
Qui détermineront ce que tu subiras

Avant de plonger tête la première
Dans le conduit qui mène vers
‘Ze next’ densité ainsi que son monde
Électrique lumineux et moins contraignant
Que celui que nous sommes sur le point
De définitivement quitter

Poésie replète 2.0 Caresses tectoniques

Tes caresses tectoniques mordront bientôt à mes larmes grises, tu sentira que tu le savais déjà que le volcan était en toi, seulement que tout ce qui constitue l’univers étant toi, tu te posais de profondes questions sur la mort, à ses armes dans la zone poussive de notre table est mise, la question de la séduction massive, que la guerre passerait par nous, comme une solution active tu ne pouvais trépasser sur une expérience du vide car nous savons que rien ne se distingue de rien vu de suffisamment haut, tu sais très bien que tu ne sais pas comment tu sais cela, comme de réveiller le soleil depuis tes millénaires dans les états minéraux, d’où tu as conçu là de si loin de l’ici maintenant tenant pourtant compte du fait qu’il n’y a pas que nous qui en bave, et que ceux qui en bavent autant constituent un univers parallèle avec nous, de cet exile aux anneaux de feu dans lesquels sauter comme des chiens de foire, ces trous furieux parsemés entre nous comme le futur antérieur d’un présent impossible, si depuis que tu as compris le sens profond de ta graduation proche et que comme le corps le temps aussi te pèse, comme moi enfile-toi les grammes de courage héroïque pure juste pour voir si tu es mûr pour arrêter l’horloge tu verras que les autres meurent mais que nous n’avons pas ce luxe car ensemble nous plongeons droit vers le mur mais nous touchons de biais la surface du jus de réel qui coule entre nos tas de chimie trafiquée aux OGM, et qui ni l’entropie par ses soubresauts cancérigènes, et par quelque formule déjantée nous sommes nécéssaires aux bon déroulement de l’univers dans son ensemble, même si nous trouvons que nos vies sont plutôt inutiles à ce stade, les assuétudes à l’accélérant de seringues sales y aidant,la torture des ‘aiguilles effilochées pour l’ordalie, droit vers le mur que l’on accepte comme amour, que l’on aime de tous bords tous côtés tout dans un accord tacite sans quoi ce sera ou la destruction massive ou l’exit alors que des continents clignotent avant de couler, mal alignés sans le massif espoir de partie gratuite au flipper cosmique on sourit jaune de nos dents restantes, en attendant la boule de cristal supplémentaire, qui elle? Oui elle! Mais nous épargnera-t-elle la cata des catas, la majeure et vaccinée d’entre toutes les partitions d’éclectica climatique, ce dos d’âne stratégique à la renverse nous ouvrira-t-il un oeil sur l’invisible relais, les portes des conduits, alors que par inadvertance sur le tas, si par mégarde j’ai omis d’aborder une des questions clés: n’hésitez alors surtout pas une seconde à égarer votre GPS dans le grand parc à voitures du vent, d’où l’on m’interrompt depuis la fin des temps, pour m’interroger sur le sens du sang et autres extrêmes philosophiques, alors que bien rouillée votre observation, cela fera bien des jaloux lors du tremblement normal de ciel déboulonné juste pour voir si l’enfer ne se cacherait pas là derrière, blotti à toute épreuve notamment l’ouragan derrière les piliers en ouate du ciel cotonné à souhait ce sera avec les yeux bandés que nous rongerons les théories sans d’abord les avoir testée sur les souris, ou est-ce que ce sont les souris qui se servent de nous en tant que cobayes, j’oublie… Mais du ciel rempli de bolides foudroyants et de citadelles majestueuses flottantes garnissant le ciel d’entertainment alors que toutes les lumières de la grille seront tombées raides mortes, que les batteries mêmes ne nous seront d’aucun secours dans le noir naturel des nuits du nouveau calendrier humain, de notre tribu réduite à un dixième de sa présente présence.

Dans l’atmosphère source de lumière avec ses anomalies
Trop de temps libre et rien d’autre à faire rien de gros
À ce qui n’a qu’un point de contact un seul drapeau
Avec une courbe nommée réalité pour nous en détourner

Pendant qu’une série de tempêtes une guerre céleste
Déferlait géante ses inondations record supputant de la lave
Depuis le paysage d’inversion devenu baromètre de la normale

Comme on détrousserait hélas une proie trop facile
D’autres variables pour des motifs plus ou moins nets
Filtraient d’utilité qui sans la couper augmente
L’expression de son exemple élémentaire soit synonyme

Plus loin encore ces mêmes immeubles apparaissaient
À mesure que nous avancions sur le point de non-retour
Aux façades trop soudainement décrépites
Enlacées les unes aux autres comme des sosies

Les opposés en soi se momifiant côte à côte
Dans les alentours fugaces de nos corps électriques
Par définition de lignes brisées ondoyant d’acharnement
Et les trous noirs qui apparaissent nous aspirent

Du paysage sous le choc suite au passage qui relie le passé
Aux franges de présent entre les îles lumineuses
Du choix contondant à la puissance dix de se défaire
Du corps et de ses sales habitudes

Une porte en forme de collection de chastetés
Trop longtemps creuses pour vouloir les posséder
Telles des statistiques biologiques improbables
Parmi les points marquants qui séparent les mutants

Du reste de la population dont la moitié par définition
Vampirise l’autre moitié la génératrice de clarté
Qui ne se réveillait généralement pas beaucoup
Pendant que les premiers Boeings disparaîtront

Une doline avalera une commune entière
Entre les discours de guerres et rumeurs
De conflagrations imminentes qui pendant ce temps
Ravageront la moitié du pays par le déni

Des arbres foudroyés mettront le feu aux forêts
Pour la vérité si cruelle puisse-t-elle d’abord sembler
Nous ne remarquerons que l’arrière-goût de la fumée
Cette expression de nos difficultés à nous responsabiliser

Filtrant les contraintes de l’environnement
Que nous-mêmes aurons créées tels des savants innocents
De l’âpre démesure roussie des matins d’après
Nos expériences le fait que après la crise et le krach prévu

Dans nos plans aux demeures éventrées et saignées
À ciel ouvert bombardement oblige l’apparition des ‘autres’
Habitants de l’univers proche et lointain qui arrivent
Sur l’onde du grand cycle peuplée des pensées pures

Nous irons sur son chemin défoncé nous y blottir
Sans jamais nous retourner une seule fois à jamais
Sur l’expérience de la division que l’on aura surfaite
Assimilé comme le jour et la nuit la mort la vie

Que tu actives sans faillir ni te demander
Comment tu fais tourner les planètes autour des étoiles
Sans te souvenir comment tu as appris à le faire
Depuis des incarnations de granite

Sans pour autant jamais perdre la destination
Le cap en aval le test ultime se souvenir
Du future par lequel communiquer directement
Avec le projet final nommé Dieu sur ou hors-Terre

C’est comment de nous réveiller sans jamais nous être endormi
Une main réactive l’interrupteur sur le future être
Dores et déjà formaté tu n’auras bientôt plus besoin de te souvenir
Ni des années de dépression ni des années-lumières

Une fois que tu entres en quatrième les leçons de troisième
Sont devenues la réalité automatique de ta projection
Sur le petit écran portable de ta création dans la bulle
De l’âme notre hologramme conscient de son unicité.

 

Quand la vie n’est seulement plus viable

C’est sur fond d’écran noir absolu, de vide
Par absence à la source soutenue
Que l’œil au sommet de ma pyramide
Songe souvent à se jeter dans le vide

Tel un spermatozoïde dans la course tordue
Braqué vers l’ovule et le feu au cul
Sans héros attitré pour le clip ‘rescousse’
Venu de loin se porter volontaire qui se trémousse

Un jour sans doute quand nous serons
Déscotché de nos écrans petits ou grands
Cas de force majeure oblige ou loi de plus offrant
Nous sommes face à un inconnu de taille

Un à la racine carrée dans notre monde rond
Un qui par ses prodiges fera vite sauter les gonds
Dématérialisant d’abord des jets ensuite
Une ville juste pour savoir s’ils ont notre attention

Ensuite comment expliquer à la foultitude
Que nous sommes pris en otage tous
Autant que nous sommes et qu’il y aura
Beaucoup beaucoup de sérieux dégâts

Dans des nuages pendant ce temps
Au-dessus de chez-nous partout
En lettres de feu la missive apparaitra:
« This is not an act of good », signé god

Le temps de nous rendre compte que
Au-dessus de notre état il y a eu, a, et aura
Une autre couche de réalité peut-être même trois
Et que leur chaîne alimentaire passe par nos égouts

Que leur technologie fait de nous des singes
Loin d’être considéré savant dans leurs rangs
Sont nos créateurs se perçoivent nos parents
Nous épargnent déjà moult douleurs désagréments

Si seulement nous savions savoir mieux
Exemple quand les bolides intergalactiques
Bliperont-ils en choeur sur les radars et enfin
L’onde passera-t-elle sur tout tel un mur de feu?

 

danleMiel, 17 Mars 2014