Nous, ce groupe témoin que Big Pharma doit éliminer coûte-que-coûte

L’émergence mondiale d’une réaction haineuse contre les non-vaccinés, quasiment accusés d’être à l’origine du COVID, désormais, soulève la question du groupe témoin que nous constituons. La coordination multilatérale de cette opération est très efficace, et souligne le poids réel de l’influence exercée par les laboratoires pharmaceutiques sur les décisions des Etats. Mais pourquoi les producteurs d’un vaccin qui ne marche pas, surtout face aux nouveaux variants, sont-ils si pressés d’en finir avec la résistance à ce vaccin ? Serait-ce parce que les non-vaccinés vont bientôt constituer le groupe-témoin gênant sur les effets secondaires durables de leur produit ?

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D E M A I N ?

James bond aux états-désunis

En plus d’essayer de simplement vivre leur vie en ces jours de crise socio-économique, ce qui, Dieu seul le sait, est déjà assez difficile, les gens peuvent à peine démêler les intentions apparemment malveillantes des responsables du monstre que le gouvernement est devenu. Et donc, la question se pose : essaient-ils réellement de tous nous tuer, ou sont-ils si corrompus et stupides que tout ce qu’ils touchent s’effondre ? C’est un ‘no-brainer’ (sans cerveau)!


En premier, vous avez cette galerie de méchants internationaux tirés d’un livre de jeu de James Bond : Bill Gates, Klaus Schwab et George Soros – des mégalomanes armés de méga-argent, une recette pour les ennuis – représentant l’émergence d’un monde – soit disant régime salvateur, de concert avec les dirigeants nationaux laquais. Leur récit va comme ceci: Les humains se sont trop répliqués, comme des asticots dans une poubelle, ils saccagent la planète et engloutissent (nos) ressources, et nous devons trouver un moyen de nous en débarrasser qui ressemble à une catastrophe naturelle afin que les pouvoirs cachés- ne soient pas blâmé pour avoir répété un Auschwitz mondial.

Lire la suite de « James bond aux états-désunis »

Tel En Haut Tel En Bas – DanleMiel

Tel en haut tel en bas
Il y a le jour il y a le noir

tel en haut tel en bas
nos actes sont le résultat
de nos pensées
parsemées dans du future

de l’autre côté du mur
alors que ce sont les âmes
qui comptent
et non les corps

il y a un seul amour
une unique vérité
deux personnes
ne verront jamais la même chose
mais tout est infiniment unitaire

tel en haut tel en bas
tel en haut tel en bas

mystère et boule d’opium
dans la fumée je perçois
suspendu dans l’air
un écran pour la leçon

au collège invisible
l’univers se résume
en deux divisions
l’énergie totale
suivie de sa perception

imaginez deux étincelles
une grande qui semble quasiment une étoile
contenir tout le potentiel d’énergie

en haut tout en haut
innommable vide
au-dessus de la grille
par où le courant passe

pour que les étincelles
cascadent en triant les atômes
pour la cascade quand
l’information se fait matière

Tel en haut tel en bas
Tel en haut tel en bas

Les visages
En tête d’épingle
De l’âme aux idées
Ballet d’étincelles
À souffle coupé
Les qui mènent
Au pied du mur
Sinon refaire
L’amour avec
Un marteau

Du domaine
Invisible surgit
L’indivisible
L’essence
À peine gonflée
Les orteils ensanglantés
Dans l’enchevêtrement
Moléculaire
Avant le transfert
Des sodomites
Sur les chaînes
D’improduction
(souris quoi?!)
Au total assemblage
De toute dispersion

La porte à la
Prochaine densité
Nous redessinera
Le portrait-robot
Aux barbelées
Du temps campé
À ras l’espace
Pourvu que
La signature
Nucléaire
En quatrième fréquence
Tienne le coup
Yeux grands ouverts

Tel en haut tel en bas
La clarté du jour
Écarte les lampadaires
Transmet son accès de chair

Non mais c’est quoi ça?
Tu me fais la gueule ou pas?

DanleMiel
16 septembre

Les nouveaux barbares

OTAN je préférerais me taire
Mais c’est de bonne guerre
Que je les targue depuis lurette
Nos illuminatis à sornettes
Peaux de crocos pas de lézard
Les qui ne partent jamais sans elle
Ni leurs médailles de pus

Pendant que les nouveaux barbares
Sortent à la queu leu leu du bunker
Une goute de fiel à la fois sur le bitume
E.T. parfaite recrue pour le corps de police
Des plus excentriques profondeurs
Les pourfendeurs de pyramides
Dans le crystal inversé de l’histoire
Gigotent comme des vers dans l’uranium
Avant de tomber sur le linoleum
Et voire leur progéniture
Marcher de leur propre verbe: Aller!

Pendant que Papa cloué
Dans un laborat signé Jekyll ton ancêtre
À saigner son contrat dans du béton
Sur des millénaires à la Ronde
Vivre et se reproduire sous terre
Avec la carotte de la surface
Aux futures générations
Si tu en apperçois un par ailleurs:
Comme dans ta chambre
Dis-toi que tu n’es PAS spécial mais Hyde

OTAN ce doit être différent
Vivre deux kilomètres sous
La surface dans des villes futuristes
Un battement de coeur à l’heure
Climat parfaitement controlé
Éclairage par résonance magnétique
Usines de recherche génétique

T’es salement juste tombé
Sous un radar à la mauvaise
Ou bonne place dépendant pendant
Que l’oeil qui voit tout ne regardait
PAS ailleurs qu’à la mauvaise ou bonne place
Maintenant que tu as la puce et pas qu’à l’oreille
Tu ferais bien dexiger un face à face
Jusque là ils flotteront comme à leur habitude
Tu pourras te crinquer à bloc et débiter
Ne règle rien mais défoule en sacre
Comme un type dans un soap américain
Un qui tente de passer son savon lui aussi:
– « Mumfucka, lance-t-il. This game’s just beginning
And am got a feeling this universe too tight
For me and you to fight our way out…
So what’s it gonna be?
You eat me or you frack off! »
Son altomètre frôlant le bizarre quota,
Il rajouterait: -« Sure i shant tempt you
In even a thigh bone, y’ol hipster?! »
This twisted shit gets em every time
Se penserait-il sorti d’affaires
Ne serait-ce qu’ç court terme

OTAN pour les armées
De projecteurs psychiques
Qui influencent la réalité
Des événements à la surface
Il y a des pions de plantés
Dans les corps remolécularisés
Des brièvement disparus

Or l’univers avait un autre projet
Pour lui et la prochaine chose dont
Il se souvient à peine sont et
Comme si des fils s’étaient croisé:
Il entendit alors des voix
Et du bruit d’excavation dans le fond
Très nettement il entendit les choses
Suivantes:

– « Non?!, dit la voix d’une femme.
Je sais bien que tu ne vois pas!
Ni toi ni moi nulle ne verra le couperet… »

– « Glisser hors-les-gonds pendant que Stylee
Montre de la craque à la teevee vouwaillons!
répond une voix d’homme. Mais c’est gé-nial »
(N.d.tr.: De la si tarte craque
qui ne claquerait pas son salaire
Dans un lotto-poker instant panic attack)

ET enfin j’ai capté une table ronde:
– « Bin tanné, balança une femme au fort
Accent québécois. Bin tanné
De voir kapout le système
À la banque surtout avant que ton compte
Ne serve de sac de sable à l’inondation
Qui suivra le tremblement de terre induit
Depuis la maison blanche à l’aide de satellites
Pour notre protection contre les amis
Des Clitrons aux têtes carrées Adirrondies
Alors que toujours molles à l’issu du moule
Les programmes sont limités donc les robots
Réactivés pour le prochain round du show
À compartiments rudement bien scellés
Vont commencer à se ressembler
De dos c’est plus facile à spotter. »

-« Et pour le bunker, enchaîna une
Voix d’homme. Je jurerais devant
Mes étudiants sur votre bible
Pour les protéger de leurs accès
Que oui je dirais aux portes soudées de l’intérieur
Qu’aucun otage soeur ou frère
N’ose plus même y penser
La surface quelle surface? Le monde? Un mythe!
Vouwaillons! Vouwaillons! La tee vee
Vous joue des tours belle jeunesse pardi!
Ne laissons pas les maniaques de pousheurs
De boutons continuer à nous jouer
Leur concerto de HAARP au tapioca de neurones
Bloque tous les bons signaux nous étant
Destinés répétéz avec moi Des-ti-nés
Et faites valider votre carton avant la sortie. »

-« Regardez bien ce que nous avons construit
Le degré de future que nous avons déja décrypté
Combien de passés nous avons traficoté
À quoi ça servirait de nous montrer aux yeux
Du jour sinon que de précipiter notre perte
Déja que nus ne sommes plus forts forts
Ni très inquiétants sans nos technologies
Hyper-persuasives tel que l’hypnose tant qu’à faire
C’est chien mais c’est légal sous quarantaine
Bande de gnaves on vous en montre de toutes
Les couleures de toutes les sortes aux aveugles
Depuis que nous avons fait changer les lumières
Des véhicules d’urgence depuis que tout
A été stroboscopisé voyez-vous combien
Vous n’y voyez que du feu vus êtes trop facile
Nos mouvements furent passé sous silence
N’est-ce pas là un progrès fantastique que
De déambuler devant vos yeux ni vu ni connu. »

-« Et les entendre virtuellement bailler aux corneilles
Alors que défilent devant eutx des véhicules
Qui leur couperaient le sommeil et l’appétit
La quantité et la qualité de chose qui laisse
La sensation et le gout ferreux dans la bouche
D’avaler une pierre angulaire de l’information
Si bien cachée qu’on la leur promène sous le nez
Comme l’éleveur qui cache sa carabine de la vache
Qu’il se prépare à débiter pour le boucher
Sans compter notre don de technologie dans
L’avancement de la recherche de sang synthétique
Ça ne prouve pas nos bonnes intentions ça. »

-« Bin vouwaillons! Qu’est-ce que ça vous prendra
Pour vous faire comprendre que
Nos intentions sont ni bonnes ni mauvaises
Qu’elles sont seulement naturelles
Or, que des lois alors-là fondamentales
De la nature vous échappent totalement
Vous et vos nouveaux prêcheurs échangistes
Blouse noire contre une blanche même topo
Crachée d’en haut la vérité se dissout
Dans sa lente cascade à travers le champ
De désinformation bien ancré comme le quadrillé
D’une poêle à gauffre brûlé dans la chair
Tel une grille portative pour nous différencier
Des autres dans le grand vacuum… »

-« Et notre dernier appel: Xéphyr de Saturne.
Allez-y Xéphyr, la galaxie vous écoutte! »

-« Beuh! Non en fait j’ai pas grand chose
À rajouter que c’est comme pour le reste
Quand on n’y pense pas elle n’existe pas! »

Clic. Pis encore là, peut-être que t’entendras rien!

« L’oiseau qui nait dans une cage pense que voler est une maladie »
Alejandro Jodorowsky

CutUp: danleMiel,
Longueuil, 10 juin 2014.

NB: OTAN les conflits sont la panacée
Lieu idéal pour faire des expériences
À grande échelle sur de populations
Ainsi que des échanges et mélanges
Sortis d’un film de science-fiction

 

 

Seulement plus demain

La bombe à neurones
Secouera les sleepers
Les agents incrustés
Dans ton cursus d’éveil
Leurs boutons vont s’activer
Ils sauront que tu sais
Qu’il n’y a plus depuis
Longtemps déjà de pays
Qu’un autre système
Mis en place gère le climat
Sauf pour ce qui tombe
De l’espace
Et c’est la vrai raison
Pour les batteries anti-missile
Pas pour Moscou ou Washington
Bien pour ce qui s’apprête
À nous chier dessus du ciel
Le reste que du pain et des jeux
Pour ceux qui jouent le rôle de dieux
Tu aimes bien les jeux n’est-ce pas
Apprends celui de la vie
L’âme compte pas les corps
Tout est un film
Que ‘tu’ te projette
Les figurants, surtout ceux
Que tu peux alors là pas sentir
Sont des reflets de qualités
Que tu as en ton âme
Et pas seulement les positives
Nous sommes tous préprogrammés
Dans nos ordinateurs corporels
Pour atteindre la connaissance
Et nos leçons ne sont pas si complexes
Pourtant nous continuons
De faire le mauvais choix
Le réel grand format
Si cher de ta peau payé
Va bientôt
De partout se dessouder
La terre même commence à s’ouvrir
De toute part
Des serpents vont matérialiser
En empruntant des corps-costards
Imbus d’eux-même au pouvoir
Sous nos yeux
Ils vont abattre
Beaucoup de pauvres
Mal informés
Quand les dés vont indiquer
Fin du dollar
Il sera trop tard pour quitter
La ville le comté le pays
Il sera toujours trop tard
Car c’est qui tu es
Ce que tu es
Et pas ta location géographique
Qui déterminera ce que tu subiras
Avant de sauter dans le conduit
Le trou de vers
Accroupissons-nous devant
Le tas d’os, la poussière
Du soulèvement en silence
Nous envions les trucidés
Par peur d’habiter la poubelle
Que nous avons construit
Fera pas le poids
Pour le future
Qui nous pue déja au nez
De moins en moins certain
Des enfants de nos enfants
Au bout d’une chaîne
Autour du cou
À la place d’une croix
Une ruse mise en place
Par nos créateurs
Dont les descendants
Sous nos pieds
N’ont jamais vu le jour
Mais travaillent sur les corps
Qui remplaceront les nôtres
Dans des laboratoires
Et des bases pour le clonage
Du futur augmenté de savoir
Pour que d’autres âmes
Puissent refaire le cycle
Dans l’ère interglaciaire
Qui souffle sous ta porte
Au silence de toute voix
Oublie tout
Ce que tu as appris
Quand j’aurai fini
De compter jusqu’à cinq
Tu te souviendras
Que dans le grand tableau
Minéral, végétal, animal
Parleur créateur
Là ou le corps termine
Hors temps espace variable
En lettres de feu
Dans l’obscurité dense
Ses mots se perdent
Seule la connaissance protège
Dans le vacarme de la fin
Pose toi des questions
Reste pas sur ta faim
De comprendre pourquoi
On plie déjà les chaises
Confiant qu’ailleurs
Sans doute autrement
Tout recommence
Ici on ne dira seulement plus:
… demain
Pas après la nuit
Des comètes jamais
Plus demain.
danleMiel,
5 juin 2014

Élasticité du réel 1

Après le corps tel que nous le percevons
Ce sera sans coup férir que la fracture
De quitter le monde en apparence
Paraîtra vu du dehors comme un massacre
Pour notre tas de molécules visibles à l’oeil nu
Paradoxe certes du point de vue palpable
Des particules de l’illusion passant à la prochaine
Peau qui n’en est pas une mais l’infini de possibles

Chaque battement de cil suivi d’un soupir provoquera une chaîne événementielle que le destin n’avait pas prise en compte alors que tout vacille indicible/ Dans son ineffable calcul des possibles un fil traînant au bas d’un écran en suspens alors que les étincelles cascadent vers le miroir déformant de la matière depuis le verbe une molécule à la fois par vagues et tourbillons qui s’empilent se tordent dans le sens opportun/ Pas plus tolérable que l’éternité la paix renfloue les cimetières et non l’inverse des odieux spectres du bonheur promis notre poussière calcifiée fera faux bond aux pensées magiques coulant à pic au bout de la planche enflammée sur laquelle nous procédons parés au pire

Il nous sera montré comment commander
L’écran sur lequel les étincelles dansent
Avant de cascader jusqu’ici bas de l’illusion
Purement et simplement de la parfaite semi-clarté

Au monde de la parfaite semi-vérité naissante
Toujours est-il que connectés au réseau
De la pensée de l’avant qui dévisse pour unir
Pendant que le ciel commence à parler
Les langues de feu arrivent et un sacré boucan

S’ensuivra quand les principaux acteurs
Se positionneront sur la scène de l’onde nouvelle
Des univers que sous pression nous sommes
En train de concevoir sans le savoir

Toutes les solutions que nous imaginons
S’inscrivent dans le grand livre de la création
Et après le corps nous les deviendrons
Ces buildings ces civilisations ces univers

Ou suis-je? Tout est une question de perception mais dans l’absolu nous sommes partout à la fois quand et si nous le désirons car le monde est en soi/ Physiquement parlant le fait est que nous sommes toujours chacun au centre exact de notre univers propre/  “L’homme est un petit monde” Dans un sens très réel nous ne sommes jamais allés nulle part/ Nous n’allons pas quelque part notre perception fait évoluer le film dans lequel nous évoluons/ Quand par exemple trois personnes parlent autour d’une table il y a trois univers cohabitant et s’entrecroisant spontanément en fonction de leur équivalence de forme (spirituelle) ils forment un nouveau corps un bébé spirituel car dans ce monde-là les désirs deviennent des objets des forces des anges/ Comment y voir plus clair? Et ce n’est qu’en nous éveillant dans le rêve la nuit que nous accédons au corps-lumière les premières fois/ Chaque fois que nous quittons le corps charnel pour notre chariot de lumière flottant juste au-dessus de la chair cela devient plus clair d’une fois à la suivante

Nous apprenons peu à peu à naviguer
Ces ondes qui tourbillonnent autour
Du corps métamorphosé en étincelle flottant
Dans le noir certes mais un noir spécial
Si je regarde vers le bas du quotidien
Le fait que mon corps de chair
Semble avoir disparu et un tapis
Quadrillé d’une lumière verte fluo
Recouvre le sol à perte de sensations

À prime abord lorsque tous nos bras
Apparaissent et s’activent on pourrait
Avoir l’impression que c’est un moyen
De locomotion et que nous faisons
Une randonnée astral et que notre flamme
Va quelque part d’où le terme voyage
Toujours au coeur de l’acte toutefois
La majestueuse projection des gouttes
De nos catalyseurs propres foutraques
Dans le mille cible sans nos corps

Fini l’obstruction armée d’étincelle
Qui met le feu aux mèches
Le monde se déploie au coeur
Sous nos pas immobiles sublimes
Et à l’horizon de la chair tout se tord
Notre étoile se dresse en moment fort
Verticale et cadavérique souche

(Guerre sur terre/ Mais cela offre la possibilité à chacun de prendre conscience que les apparences sont trompeuses: d’une part ce qui nous apparait comme la ‘guéguerre’ des hommes n’est qu’un écran de fumée car les pays, les économies, les cultures, les tribus sont des ‘illusions’ maintenues en place pour siphonner les ressources, car nous vivons depuis belle lurette sous un seul et unique gouvernement, et le véritable ‘ennemi’ n’a jamais été ici-bas mais bel et bien ‘là-haut’. Les guerres sont des programmes de développement génétique destinés à détourner l’attention de l’humanité du ciel où notre réel ennemi (comètes, météorites, tornades, poussière cométaire, astres en perdition d’orbite, etc etc) préparant une prochaine mission qui elle sera ‘fra-cassante’ si on se fie à l’art rupestre et aux références aux ‘dieux méchants’ de la mythologie – qui sont des phénomènes cosmiques et non pas une invasion de ‘E.T.’./ De plus, ces guerres sont le parfait prétexte pour mener des expériences sur la matière ‘humaine’, pour lesquelles nous refuserions catégoriquement de servir de cobayes si nous en étions informés. Cela a toujours été la fonction des armés, ce sont des ‘labo-rat-oires’ génético-pharmaceutiques à ciel ouvert./ Guerre dans le ciel/ Les satellites contournant notre planète à des coûts qui paraissent aujourd’hui  prohibitifs, sont accompagnés de beaucoup plus nombreux satellites armés jusqu’aux flancs pointés vers les cieux, munis d’instruments de mesure – à côté desquels la technologie terrestre qui nous est révélée ne dépasse pas le niveau des cromagnons en termes historiques – prêts à lancer des armes qui nous sont cachées, et qui sont gérées dans des bunkers souterrains disséminés un peu partout sous la croûte terrestre ou étonnamment il fait bon vivre en comparaison à la surface./ Faim sur terre ou ‘guerre alimentaire’/ La ‘faim’ sur terre, malgré la douleur qu’elle provoque, et sa réalité ‘tangible’ que nous commençons à ressentir dans nos pays dits ‘riches’ sont aussi une occasion fondamentale pour éveiller la masse au fait que contrairement aux bêtises qui nous ont été enseignées, nous ne sommes pas les ‘maitres’ de nos destinées, et qu’il y a des ‘êtres’ plus développés qui nous utilisent comme ‘nourriture’ (pas au sens de nous manger, bien que cela aussi ait une part de vérité) et qui manipulent notre développement, et ce aisément, en retournant dans le temps par exemple et en changeant des choses pour que notre présent et futur s’aligne de plus en plus sur leur projet d’avenir./ Cancer ou ‘guerre corporelle’/ Équilibre de l’univers/ Bref, tout est une leçon, immense et éternelle leçon d’équilibre entre le ‘Service de Soi’ et le ‘Service de l’Autre’ sur le plan de la cosmologie (en raison de laquelle notre ‘logique’ ne fera pas long feu) Tout est à réapprendre basé sur le fait que l’Univers pullule de formes de vies qu’il nous a été interdit d’acquiescer – dont certaines sont nos ‘géniteurs’ ‘maîtres’ et ‘contrôleurs’…)

Une fois rencardés mes esprits et moi
Sommes retournés d’où nous étions venus
Un point qui disparaît dans un champ lumineux
Capable de se rassembler sous différentes formes
De se projeter dans des expériences limites
Dans le but de tester sa résilience

En guise de sous-titre à la solution étrange
Vivre ou mourir sur le champ d’aucune bataille
Les utopies coincées sous un cheval mort
Sont deux prédilections impossibles à prédire
Qui se réalisent toujours trop tard d’un noeud

Face au degré d’élasticité imprévisible du réel
Leur consistance imaginaire va et vient
Pouvant être incluses au projet de la nature
On pourra certes le vérifier mais basta!
Va d’abord pour le côté ombragé de la rue
Longeant d’interminables murs parfois coriaces

Quand il s’agit de les escalader telle une vérité
À vrai dire, elle est quasiment nulle car
Impossible de prouver si nous vivons vraiment
Ou si nous sommes simplement morts

Et que nous nous imaginons cette vie
Seule chose chose qui soit certaine
Reste le trou de vers par lequel
Avant d’être mort au moins une fois
Nous fuyons la chair et ses os
Comme la peste ou la pendaison

Je languis la traversée par le cerceau
Que les flammes indiquent dans l’obscurité
Comme seul guide à mes confusions
Sur la nature de notre prochain état

Ce sera l’électricité ou l’éclat fatal
Du verre antiballe de haute précision
Quand il aveugle le tireur fou d’élite

Psst! On ne meurt pas, on continue seulement…

Quand la vie n’est seulement plus viable

C’est sur fond d’écran noir absolu, de vide
Par absence à la source soutenue
Que l’œil au sommet de ma pyramide
Songe souvent à se jeter dans le vide

Tel un spermatozoïde dans la course tordue
Braqué vers l’ovule et le feu au cul
Sans héros attitré pour le clip ‘rescousse’
Venu de loin se porter volontaire qui se trémousse

Un jour sans doute quand nous serons
Déscotché de nos écrans petits ou grands
Cas de force majeure oblige ou loi de plus offrant
Nous sommes face à un inconnu de taille

Un à la racine carrée dans notre monde rond
Un qui par ses prodiges fera vite sauter les gonds
Dématérialisant d’abord des jets ensuite
Une ville juste pour savoir s’ils ont notre attention

Ensuite comment expliquer à la foultitude
Que nous sommes pris en otage tous
Autant que nous sommes et qu’il y aura
Beaucoup beaucoup de sérieux dégâts

Dans des nuages pendant ce temps
Au-dessus de chez-nous partout
En lettres de feu la missive apparaitra:
« This is not an act of good », signé god

Le temps de nous rendre compte que
Au-dessus de notre état il y a eu, a, et aura
Une autre couche de réalité peut-être même trois
Et que leur chaîne alimentaire passe par nos égouts

Que leur technologie fait de nous des singes
Loin d’être considéré savant dans leurs rangs
Sont nos créateurs se perçoivent nos parents
Nous épargnent déjà moult douleurs désagréments

Si seulement nous savions savoir mieux
Exemple quand les bolides intergalactiques
Bliperont-ils en choeur sur les radars et enfin
L’onde passera-t-elle sur tout tel un mur de feu?

 

danleMiel, 17 Mars 2014

Vérité, mais laquelle

« Ne croyez pas quelque chose simplement parce que vous l’avez entendu. Ne croyez pas en quelque chose parce que cela se raconte, ou que cela est la rumeur chez d’autres. Ne croyez pas à quelque chose parce que cela est écrit dans vos livres religieux. Ne croyez pas à quelque chose sur la seule autorité de vos guides et enseignants. Ne croyez pas en vos traditions parce qu’elles vous ont été passés de par les générations. Mais seulement après observation et analyse, quand vous trouverez quelque chose qui est raisonnable et qui conduira au bénéfice de tous, alors acceptez-le et soyez à la hauteur. » – Siddhārtha Gautama Buddha

Ici, sur Terre, nous sommes tous des Initiés dans la religion qu’est la Vie. Réunir l’esprit et la matière durant notre incarnation quotidienne, faire acte d’aller envers et contre tout.

Nous sommes des chercheurs de Vérité, des récepteurs de Lumière. Nous savons aussi que la Vérité est Infinie, comme la source de sa création est totale. Elle est en chacun d’entre nous cette Vérité, elle se dévêt comme un oignon, une peau à la fois, toujours unique en son coeur. Lire la suite de « Vérité, mais laquelle »

Lumière Créatrice

D’innommables loups

Soufflent sous nos portes

Partout les attentats ragent

À la surface du monde

Et la noirceur s’insinue

Par chaque craque


La fin du cycle tombera des nues

Dans le calme posé sur une plume

Que la révolution intérieure

Propose à ceux qui entendent

Et illumine à ceux qui voient


Elle ne sera pas télévisée

Cette révolution spirituelle

Qui déchirera les points

À relier entre nos coeurs

Pour nous recoudre

À notre véritable devoir


Nous retournons vers la perfection

En un tumulte au chaos strident

Car les créatures reviennent toutes

À l’or pur de la lumière Créatrice

Comme au jour de leur engendrement

Qu’elles en soient conscientes

Ou non…

N’y changera rien!

Après les Sirènes

C’était encore l’été
Du moins ce qu’il en restait
Lorsque les sirènes

Se sont tues


Après la pandémie patentée
Et les attentats subventionnés
Par les aboutissants
De ceux tenant nos laisses
Un silence génocidaire
Planait dans l’air vicié

Venant en aide
Aux plus ammochés
Des quelques rescapés


À ceux qui préféraient
Ne rien voir venir
En regardant leurs programmes


Je portais une gamine
En fonçant dans le sous-bois
Nous avons marché
En petits groupes
Vers le Nord
Loin des routes
À travers champs

Les nouvelles arrivaient
Nous informant que la Ville
Avait subi les foudres
Tellement annoncées
Que des armées
De types en noir
Avaient aspergé les foules
Et que le feu
Avait tout consumé

Certains trainaient
Des bouillies de chair

Les restes de leurs enfants
Comme si le grand air
Aurait pu les ranimer
Ces victimes de première ligne
Des hélicoptères rasaient
La cime des arbres
Nous incitant à nous cacher
À intervalles irréguliers

L’odeur des aérosols humanicides
Nous a d’abord secoué de cris
Plusieurs se sont mis
À saigner du nez
Nous avons déchiré des trucs
Pour nous couvrir le visage

Pourquoi ces gens
Portaient-ils sur leurs dos
Des sacs bourrés de trucs
Des gadgets ignobles
Leurs portables tracés

Toute cette pacotille

Devenue obsolète
Vu nos circonstances?

Fut la dernière question
Qui me traversa l’esprit.

J’irai Crever dans un Champ

Nous crèverons les filtres

Défoncerons les cohues

Écraserons nos vices

Dans la liberté qui elle

Se creuse par le dedans

Quand la lumière s’insinue


Nous avalerons du bitume

Chiant de l »asphalte

Par tous les trous

Qui seuls nous restent

Dans l’ordonnance

Des micro-pucelles injectées

Aux résistants las


Nous marcherons à travers

La nuit

De notre chaos inspiré

Par le besoin de se trouver

Une veine

Pour shooter notre fin

Dans la face de Dieu.

Éveil Spirituel 101

Quand je ferme les yeux

La nuit avant de sombrer

Montréal siffle autour de moi

Je revois les projos

Au plafond de toutes les stations

De métro j’entends

L’explosion avant le déraillement

Je sens les déplacements d’air

Tous les passagers hurlent

On entend des messages

Dans les haut-parleurs

Nous dirigeant vers les autobus

Qui vont nous conduire

Sous les seringues

Près de la porte du camp


Quand je vais faire le marché

Je me demande dans quelle denrée

Les produits chimiques ont été

Injectés pour réduire ma capacité

À combattre le génocide annoncé

Et en sortant je fais bye-bye

Aux avions qui déversent

Des produits pour détruire

Mon système immunitaire

J’ai de la difficulté à accepter

Que même cela ne m’appartient plus

Dans ma chambre d’hopital

Ou de jolies infirmières

Me font ma piqûre du matin


Quand je marche dans la rue

Je souris à des robots musclés

Des types qui se croient dans une armée

Jugulée aux sédatifs puissants

Si ce n’est les électrochocs fréquents

Qui se trémoussent en zyeutant

Les mirroirs qui me grandissent

Pour éviter que je lise leur vide

D’un coup d »oeil nonchalant

Aux branlettes express

Devant l’Internet pornocratique

Qui elle préfère les humains

Qui ont encore des cheveux

Mais micro-ondes oblige

On ne peut pas tous encore

Réfléchir de la lumière


Quand je remplis mon formulaire

Et que je chie un peu d’impôt

Je signe d’un merci

Au fantôme gouvernant

Qui reçoit ses ordres

D’une boite d’alphabites

En soupirant que le temps

Est venu de se désenfranchiser

Comme un tibia qui casse

Sous un coup de batte.


Allégorie de la Caverne de Platon:

Dans une demeure souterraine, en forme de caverne, des hommes sont enchaînés. Ne nous ressemblent-ils pas ? Ils n’ont jamais vu directement la lumière du jour, dont ils ne connaissent que le faible rayonnement qui parvient à pénétrer jusqu’à eux. Des choses et d’eux-mêmes, ils ne connaissent que les ombres projetées sur les murs de leur caverne par un feu allumé derrière eux. Des sons, ils ne connaissent que les échos.

Que l’un d’entre eux soit libéré de force de ses chaînes et soit accompagné vers la sortie, il sera d’abord cruellement ébloui par une lumière qu’il n’a pas l’habitude de supporter. Il souffrira de tous les changements. Il résistera et ne parviendra pas à percevoir ce que l’on veut lui montrer. Alors, Ne voudra-t-il pas revenir à sa situation antérieure ? S’il persiste, il s’accoutumera. Il pourra voir le monde dans sa réalité. Prenant conscience de sa condition antérieure, ce n’est qu’en se faisant violence qu’il retournera auprès de ses semblables. Mais ceux-ci, incapables d’imaginer ce qui lui est arrivé, le recevront très mal et refuseront de le croire : ne le tueront-ils pas ?

Son de Cloche

Si je te dis
Que là-bas
Là ou le vent déchire
Par un faux pas
Qui fauche le rêveur
Que là-bas
Soudain est arrivé
Ici
Comme la bouteille
Qui arrive de la mer

Si je te dis
Que le bonheur
Est une denrée
À laquelle
Jamais tu ne goûteras
Avant de franchir
Les cerceaux enflammés
Avant l’ensorcèlement
De tout ce qui respire

Si je te dis
Tous les mots
Les mots que tu aimes
Pour mieux te décimer
En une vague de fond
Silencieuse
Et meurtrière
Avec ta langue
Sous mes pas

Si je te dis
Repens-toi reprends
La danse
Dans le jardin
Et hurle ton tout
Meugle ton saoul
Aux sornettes des cobras
Brûle la barricade
Qui te sépare de toi

Combien de doigts
Est-ce que tu vois?

Soufffrir c’est bien beau
Mais souffrez donc en silence
Les pathocrates ont à faire
Des guerres à formenter
De vos enfants à trucider
Si ce n’est pour les sacrifier
Sur l’autel de la dévolution
Légale permise bien patentée

Vous avez beau souffrir
Mais souffrez sans ciller
Cela dérange toute cette perte
Dans les revenus corporatifs
Ne regardez pas le ciel
Tiens prenez vos sédatifs
Personne ne verra plus de miel
Car les abeilles sont dépassées

Vous croyez que vous souffrez
Mais la gouvernance
À quelques petits secrets
Qui sont étalés à la une
Pour vous empêcher
De les aditionner
Combien de cloches entendez-vous

Quand on vous dit que le glas a sonné?


Dragon

La vie si tu veux
Mon avis:
C’est un film de Fellini
Sur le point de se transformer
En John Carpenter
Ou Stephen King
Tout le monde
Sent cela à un niveau
Ou à un autre
La fiction n’est plus
Et le future non plus
Certains pourtant
Consomment toujours
S’embrassent sur un banc
Nos routines
Deviennent explosives
Les exceptions
Se font rares
Un stress de fond
Montre sa lame
Pourtant les programmes
Tournent la tête
Les pythons se pavannent
Dans les habits du rêve
Pendant que des
Humains de synthèse
Harcèlent à fond
Les rêveurs éveillés
En un mélange
De contrôle du cerveau
Et de pandémie
Commanditée
Nettoyez vos tentes
Car nous allons bientôt
Soit faire du camping
Ou du camp
De concentration
Mais continuez
Continuez à vous occuper
De la pluie
Et de l’espoir
Qu’un jour
Il fera beau temps
Mieux vaut céder
Dans l’endormissement
Que de se battre
Contre le Vent
Qui souffle
Tel un dragon méchant.

Génocide Silencieux

La transition siffle

Et les oreilles cillent

Car la fréquence change

Et la peur s’installe

Alors qu’un tsunami

Souffle sous la porte

Le vent vient du sud

Nous sommes maintenant

Presque moins que rien


Le réchauffement causé

Par le ciel truqué de polymère

Anéanti les récoltes

Abreuvées aux anti-dépresseurs

Nourries aux métaux légers

Notre corps se crispe

Dans un reflux magnétique

Mieux vaut ne plus

Regarder au loin

Le rayon est dans notre

Maison


Nos images sont entassées

Dans des recoins

D’un gigantesque écran

Que le tumulte attise

Pour mieux les décimer

Avec un minimum

D’investissement énergétique

La faim viendra

Créer la prochaine crise

Que les tuyaux de rechange

Fourniront en poisons forts


Le gouffre gigotte

Sous nos pieds

Ne reste plus

Qu’à se laisser glisser

Dans la bouche du serpent

À sornettes clinquantes

Dans la cage aux danseuses

Reconverties

En psychiatres vendues

Aux plus offrant

Pour la danse nue

Du sans destin.

Ne te répètes pas

Toujours nouveau le ciel

Éclaboussé d’encre

Jamais une seconde

Ne sera la même

Dans un décompte

Qui finit par commencer

À se trouver une voie

Encore moins la troisième

À gauche tourne

Vers ce repli cru

Dans ton sourire

Si lumineux qu’il chante

Ris mais ris de moi


Quand les nouvelles

Égratignent la peau

Que l’on nous injecte

D’une peur patentée

De toute part que

Le monde se désagrège

Quand l’illusion suinte

La terre éclate

Ses molécules pètent

Les ponts brûlent

Des victimes hurlent

Tant mieux pour le chaos

Le désordre nous sied

À ravir les dormeurs

Et réveiller les morts

Qui marchent parmi nous

Dans leurs peaux synthétiques.

Je Respire Encore

Pourvu que cela dure

Dans ce rêve émerveillé

Je respire et j’expirerai

C’est confirmé par les Experts

Comme une pomme pourrie

Ayant roullé sous un lit

Dans la lente décomposition

De sa chaire putréfiée


Mais c’est Vendredi

Et les Experts le confirment

Je respire encore

Chaque seconde est un miracle

Qui m’entraine vers

Un nouveau round

De la guerre des nerfs

En combat extrême

Contre mes derniers neurones

Dans la rue je marche

En provoquant les voitures

Torréant avec la vis

Qui me serre à mon casque

Pour oublier que je suis sale

Que je suis seul

Et que je pue.