LA NATURE DE LA VÉRITÉ

« Nous sommes tellement imprégnés de rêves et perdus dans nos réflexions que nous ne reconnaissons même pas les faits nus tels qu’ils sont et la Vérité est au-delà de notre conception, au-delà de toute pensée.

La vérité ne peut pas être connue avant que vous ne la réalisiez réellement.

La Vérité ne peut pas être enseignée, mais la méthode pour connaître la vérité le peut.

La Vérité ne peut pas être pensée – elle est vue, réalisée.

La vérité est toujours présente si seulement le moi a des yeux pour la voir.

La vérité ne peut être connue que lorsque nous ne faisons qu’un avec la Réalité.

La réalisation de la Vérité ne se produit que lorsque l’on est totalement libre

La vérité est la plus grande chirurgie qui existe.

Et ceux qui sont les souverains, qu’ils soient de royaumes ou de richesse ou de religion ; ceux qui exercent le pouvoir, quel qu’il soit, sont mécontents de la Vérité, car le pouvoir est toujours installé sur le trône du faux.

Nous ne pouvons pas nous attendre à entendre la vérité de si tôt de la part des narcopathes mondialistes, ou de tous les politiciens attardés du monde entier, car ils ne savent pas quelle est la vérité.

Ils veulent seulement que vous restiez à jamais piégés dans l’esprit collectif inconscient de la ruche, ils ne veulent pas que vous soyez des individus intelligents et libres.

Leur idée même de domination, leur désir même d’être puissants sur les autres montrent leur pauvreté d’âme.

Cela montre qu’ils n’ont pas de pouvoir sur eux-mêmes, d’où le désir d’avoir un pouvoir absolu sur les autres.

Vivre sans se connaître est le vrai suicide.

La société ne s’intéresse pas aux gens intelligents, la société ne veut pas que vous soyez intelligent.

La société veut que vous soyez médiocre parce qu’il est facile d’asservir la personne médiocre.

C’est facile pour les manipulateurs, et ils sont nombreux – les globalistes, les politiciens, les soi-disant experts, les docteurs vaudous, les journalistes, les soi-disant éducateurs, ce sont tous des manipulateurs, il leur est facile de vous manipuler si vous n’avez pas d’intelligence, parce que vous êtes obligé de dépendre d’eux, vous devez dépendre d’eux.

Vous devez toujours vous tourner vers eux pour obtenir des conseils.

Mais, vous n’avez besoin de leaders que si vous n’êtes pas intelligent.

Vous aurez toujours peur des gens puissants si vous pensez qu’ils en savent plus, alors qu’en réalité ils ne savent rien de la vraie valeur.

Vous serez continuellement dans la peur.

La société fonctionne de cette manière : tout le système éducatif est créé non pas pour vous servir mais pour servir les intérêts acquis.

De la maternelle à l’université, ils servent les intérêts acquis, mais ils vous rendent de plus en plus stupides.

Les personnes intelligentes dépendent de leurs propres idées, elles font confiance à leur propre être.

Ils s’aiment et se respectent.

La personne inintelligente respecte les autres.

Ces soi-disant dirigeants, les médias, les hypocrites, les menteurs, les criminels.

Pouvez-vous voir le point?

Pourquoi les intérêts acquis sont-ils intéressés à créer de la stupidité ?

Parce que c’est la seule façon pour eux d’être respectés.

L’obéissance vous a été imposée comme une grande valeur, ce n’est pas une grande valeur.

C’est l’une des causes fondamentales de la destruction de votre intelligence.

Sois honnête avec toi-même.

Votre seule responsabilité est envers vous-même et envers personne d’autre.

Une personne intelligente risque tout.

Ils seront prêts à mourir plutôt qu’à faire des compromis. »

(pas moi qui vous l’a dit…)

CHRONIQUES DU BONHEUR QUI NE REPASSERA PLUS – 30.03.2022 – DanleMiel

SOUS LES BOMBES

Pour toi je chanterai sous les bombes

Maudissant les alentours qui tombent

Sous la tourmente d’un sacrifice

Déluge d’intention créatrice

Je chanterai sous les bombes

Maudissant les alentours qui tombent

À genoux au carrefour d’un bordel

Nos âmes en fusion éternelle

Pour toi je chanterai sous les bombes

Maudissant les alentours qui tombent

Sous la tourmente d’un sacrifice

Déluge d’intentions créatrices

Camping forcé en Ford Focus

Bordel de merde que ça joue juste

Tes lèvres la nuit me fendent l’écorce

Chaque lendemain vaut son pesant de force

La seule union ou y’a de grève

Tatoue ton X on saigne une trêve

Du haut de son clin d’oeil – le ciell…

Nous parlera en signes précurseurs

Le premier homme à devenir mère

Droit vers le mur pédale au fond

Pourvu pourvu que le monde soit rond

Pourvu pourvu que le monde soit rond

Ton corps me tamtam sa douleur

Fleuve de sirènes et d’avertisseurs

Autocollant du Canadien*

Coucher de soleil main dans la main

Pour toi je chanterai sous les bombes

Maudissant les alentours qui tombent

Sous la tourmente d’un sacrifice

Déluge d’intentions créatrices

À genoux au carrefour d’un bordel

Nos âmes en fusion éternelle

Pour toi je chanterai sous les bombes

Maudissant les alentours qui tombent

(2016) DanleMiel

(*le Canadien est l’équipe de hockey de la ville de Montréal, l’équipe chouchou des Québecois dans la LNH – Ligue Nationale de Hockey)

« Connais-toi toi-même… et tu connaîtras les autres et le Tout de l’Univers entier duquel tu fais partie et qui se trouve paradoxalement tout entier en toi-même ! » – « Qui suis-je », qui donc est en train de vivre ma vie à ma place ?

Qui ou quoi donc me dirige, me gouverne, me soumet à sa loi, m’impose une existence formatée sur quel modèle, dans quelle intension et pour quelle finalité ?…

Il y a quelques jours, j’ai entendu le proche conseiller de Klaus Schwab(bbbbbb….) du Forum Écomoronique Mondial proférer ces mots dans une entrevue qui date de quelques années : « les humains ne possèdent plus de « libre arbitre » et vont être « remodelés » par Bill Gates ! » (Pardon tu te fout de nos geules, as-tu vu la coquerelle (cafard. Et toi tu es bien sûr de ça le morpion??? Nous avons des news pour toi défaut de la nature!… ) ?

J’ai trouvé ma premières réaction inspirante, c’est le moins que je puisse dire et pourtant je sais ce qu’ils vont nous faire souffrir depuis si longtemps que je commençais à croire que je ne verrais pâs les feux d’artifice. Bring it on mutha fucka! Lisez-moi ça. j’en crois pas mes yeux un défaut de la nature entouré d’une bande de dégénérés avec des yachts et des enfants attachés dans des cages vont venir nous empêcher de transitionner en paix?! Je jugule!!! Check la suite:

Il poursuit; « Les humains (qui continuent de croire au mensonge) sont désormais des animaux piratables ». « Toute idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne peut savoir ce qui se passe en chacun, quoi qu’il choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, ce libre arbitre est fini. » (Hmmm… parle pour toi le robot! Toi tu n’as pas d’âme bi d’esprit tu es une malformation bénigne – le casino est encoure ouvert cher!))

« Aujourd’hui, nous (qui ça nous???) avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé. »

« En cette période de crise, vous devez suivre la science ». « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID-19] était l’occasion de faire les bonnes réformes, qu’en temps normal, les gens n’auraient jamais acceptées . Mais en temps de crise, c’est une fenêtre d’opportunité ! »

« Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années », disent triomphalement les « élites » du FEM de Davos. « Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer … »

« Mais, poursuit Harari, notre conception intelligente et la conception intelligente de nos cloud, le cloud d’ibm, le cloud de Microsoft, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. »

« Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente », ajoute le complice de Karl Schwab.

« Toi et ta bande de morpions vous allez avoir une surprise en Avril, ne vous découvrez pas d’un fil! C’est juste une intuition le moron!!! »

LA VIE EST UN JEU COMPARÉE À L’AMOUR – poésie spokenword – Daniel Guimond

POÉSIE / DanleMiel, 13 Morse 2022

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LA VIE N’EST QU’UN JEU

COMPARÉE À L’AMOUR

« Au coin du boulevard Nulle-Part!

La vis de mes vices se resserre

Tel un étau en grain de peau

Au pire la mort c’est vite vécu

Au coin du boulevard Nulle-Part!

Au coin du boulevard Nulle-Part!

Ça prend toujours une ecchymose

Comme les lumières d’un ciel

Qui éclaire une ampoule à la fois

Après-demain nous saigne à blanc

Je marcherais bien le long de la plage

Entre les cordons de palmiers

Que quelque chose enfin me réchauffe

Dzzzzt!… FIN DE LA PUBLICITÉ

Ok! Basta, retour d’écran : la guerre

Au coin du boulevard Nulle-Part!

La vis de mes vices se resserre

Tel un étau en grain de peau

Combien vous voulez gager sur

Les estimées des retombées

En amputations de cerveau

(Pas pu m’en empecher…)

L’heure est venu de signer tes péchés

À genoux ça ferait l’effet pare-balle

Dans ce combat invisible

De la guerre à ton ADN

Subventionné par James Blonde

Qu’on va soit t’injecter dans le cerveau

Ou dissimuler sous forme de blé

Dans tes nano-céréales préférées

Mais les gentils vont se pratiquer

Sur tes parents et leurs petits-enfants

En l’occurrence les tiens de morveux

Commence à lire les ingrédients

C’est une guerre de l’esprit réactée

Et l’objectif principal dépasse la fusée Russe

Déconnecte-toi pas de l’ntérieur

Même quand les fils vont se toucher

Ça prend un gros court-circuit le coeur

Si et… Quand les dés vont péricliter

Et le marionettiste pris au piège

Il se donnera des cours pour la panique

Au pire la mort c’est vite vécu

Au coin du boulevard Nulle-Part!

Au coin du boulevard Nulle-Part!

Tu te réveilles aussitôt dans le corps

D’un petit morveux avec des parents

Sur le crack dans une roulotte

Dans le fond d’une cour

Dans Hochelaga sur la galoche

Avec des seringues qui traînent par terre

Au pire la mort c’est vite vécu

Au coin du boulevard Nulle-Part!

Au coin du boulevard Nulle-Part! »

– danleMiel – 13 Morse 2022

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Nous, ce groupe témoin que Big Pharma doit éliminer coûte-que-coûte

L’émergence mondiale d’une réaction haineuse contre les non-vaccinés, quasiment accusés d’être à l’origine du COVID, désormais, soulève la question du groupe témoin que nous constituons. La coordination multilatérale de cette opération est très efficace, et souligne le poids réel de l’influence exercée par les laboratoires pharmaceutiques sur les décisions des Etats. Mais pourquoi les producteurs d’un vaccin qui ne marche pas, surtout face aux nouveaux variants, sont-ils si pressés d’en finir avec la résistance à ce vaccin ? Serait-ce parce que les non-vaccinés vont bientôt constituer le groupe-témoin gênant sur les effets secondaires durables de leur produit ?

LIRE LA SUITE: https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/01/07/nous-non-vaccines-ce-groupe-temoin-que-big-pharma-doit-eliminer-coute-que-coute/#comment-24585

D E M A I N ?

L’HIVER DE FARCE ou 2024 – AutoFiction

1 – Ce soir-là, le face à face présidentiel entre les États-Désunis et la Roussie-Occidentale occupait certainement la une de tous les cerveaux encore opérationnels. Je me sentais moins seul juste d’y avoir pensé. Comme la plupart des gens qui respiraient encore. Suite au battage publicitaire qui durait depuis de semaines : j’avais balayé ça de mon esprit. Et à force de voir ça étalé à la une de tous les canaux d’effusion merdiatique – j’avais cessé de regarder les news sous quelque forme qui soit. Mais le mois de Décembre nous avait pris de court. Il faisait une moyenne de moins 15C depuis des semaines, et que voulez-vous, je me suis enfargé (trébucher : Ndlr) dans le clavier. Les choses étant ce qu’elles sont, j’ai rebranché le fil dans le trou derrière l’antenne que Réjean m’avait confectionné juste pour voir, et dès que l’écran a saigné du réseau : Bang!

A U T O F I C T I O N

Lire la suite de « L’HIVER DE FARCE ou 2024 – AutoFiction »

Point de bascule

Tout est sur le point
De basculer irrémédiablement
Vers un présent augmenté

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MissRoBee et DanleMiel, rue Berri, Montréal février 2016

 

22 novembre 2013

La vie de chaque jour est devenue bien plus intéressante que la science-fiction depuis que je me consacre à ma quête de savoir pour la vérité sur l’amour.

Malgré le fait que je soit convaincu d’avoir choisi  – et de continuer à le faire – les détails de ma vie ici maintenant, il existe bon nombre de mystères à ma situation qui me turlupinent en permanence. Devant la création, ma curiosité est intacte, je ne trouverai pas le repos avant de ‘tout’ savoir! Je continue de poser les questions sans relâche, de retourner chaque pierre, en gardant l’esprit ouvert aux réponses qui ne me conviendront pas nécessairement. La vérité se révèle toujours là où on l’attend le moins, en soi.

 

Mettez-vous un peu à ma place. Nous savons que le monde est une ‘illusion’, un film que nous projetons à partir de l’état de notre monde ‘intérieur’, notre état de conscience. En fait, pour simplifier au max, le monde extérieur est notre âme. Une âme pour toute la création, divisée en des parties plus ou moins autonomes car contenant chacune l’ensemble des données de la création en soi. Un hologramme du grand ‘Tout’.

Une fois traversée la révélation de comment notre corps ‘lumineux’ orchestre – de ses nombreux bras et mains – la réalité que nous relativisons comme étant tangible, il reste à vérifier si cela est véritablement le cas. Et dans le cas d’une réponse affirmative, nous ferions mieux de communiquer avec cet ‘autre’ soi, oscillant juste au-dessus de notre usine chimique corporelle ‘Terrestre’, afin de demander des cours supplémentaires à l‘université invisible où il m’emmène parfois la nuit. Là où on nous programme pour ce qui s’en vient.

Beaucoup d’aspects restent trop flous pour être affirmés positivement mais une chose est certaine pour moi: il y a un plan d’évacuation de prévu. Il existe des bases souterraines capables de nous abriter par milliers et dizaines de milliers pendant une certaine période de temps. On m’a montré des images de scènes de désolation sur Terre suite à des catastrophes multiples, puis ensuite on m’a programmé un plan de rescousse adapté à ma situation ainsi qu’un certain nombre d’individus qui me suivront car je saurai quoi faire lorsque le programme sera mis en marche, en moi.


Tout ça relié par des fils
Que le plus puissant mortcroscope
Ne saurait détecter malgré
Que les signes s’empilaient
Devant ou autour de la porte
Avec un gros X rouge dont le sang

Dégoulina longtemps avant et ensuite

À jamais et ce n’est pas un erreur

Ni de fabrication ni de matériaux

De Ikéa si on peut traverser

Et ou faire dématérialiser
Le contreplaqué il suffit de voir

Au ralenti ce qui advint de poutres d’acier
De plus de trois mille cuves de w.c.
Pouff! Disparue la matière!
D’un seul rayon d’anti-matière
Empruntée à l’ouragan Erin
Avant une manifestation publique
D’un pouvoir si bien caché
Un si en avance sur la compréhension
Qu’il ne se cachera plus
Un dont les ramifications sont telles
Que personne ne pourra
Pointer du doigt vers quiconque
Car la guerre n’est pas ici bas

Entre une quelconque bande de gais tarés
Contre des rebelles sortis des banlieues
Ou se battre ou crever de faim restent
Nos deux seules options
Mais se battre contre qui?

Se battre au nom de qui?

Dure à cerner la banlieue de partout
Quand on a vu que nulle part
Est notre demeure

Le bras gauche sous le ciel
Enfilant à l’histoire de ces ailes
Sinon plus rien ne nous soutient
Poussière rouge dans les veines
Et murmure de rengaine arrière-plan
Ou plan B selon la grille d’Options

Assez limitées somme toute

 

Ce n’est pas en se croyant sage

que l’on croise la sainteté
Ni même en jouant juste
Jouxté au mélange en ‘bon perdant’
Entre nous dans la connexion
Flotte un Dieu sans limites
Un miroir avec plus de facettes
Que la somme de la debte
Du pays nommé ‘vous savez qui’
Dont le plafond n’a de cesse
Que de grandir, un géant
Ça fait ça: grandir mais
Telle le requin en captivité
Ne grossit que jusqu’aux limites
De l’engin le maintenant sous cage
Tel un plan d’affaires ou d’évasion
À ceux qui refusent leurs visites
Nocturnes au bout du stéthoscope

Que l’on fourre entre les bures

Pour quelques ‘guiliguili’
Pas nécessairement de bonne augure

Entre deux mondes le ciel
Où est permis surtout l’interdit
Que veux le peuple?
Ce que le gouvernement prohibe
Vers une cellule avec télévision
Et autres distinctions dans le temps
Que cela prend à introniser
Sans plus tarder une rue
Portant maintenant son nom
Telle une croix gammée
Devant le temple de la jamais nommée
Ainsi qu’une joyeuse aberration

Suivra la trace du pétard
Plus con que damné à brûler
Sans jamais exploser au visage
Vivant maintenant sans solution

La dernière baffe de potentiel
Piqué au radium enrichi
En attendant le cri des bottes

Sur fond de hurlements contondants
Désenchaîné lors des aveux
Sur le vif déchiré d’adieux

Un coin de ciel servant de faggot
Au cahier d’écolier en flammes

L’apesanteur vaut sa leçon
De mal barré qui serait parano

Enrobé du suc des barricades
Un velours sans prétention

Et toute cette paix fichue en l’air

Que les faux prophètes hurlent

La prochaine catastrophe
Débordant de la une

Vive la gué-guerre ce soir on meurt
Adieu la lune en comptant les heures

Dès le début à la porte qui ouvre
Tu en as encore le choix
Ne compte surtout pas sur moi
Rapport de force signé faiblesse
Je ne sors pas sans prescription
Ce que j’ingurgite comme bêtise
Comble l’illusion ou un jour guérir
Vivant à la fibre hors-raison
Au pied du mur qui boitera vite
Dès que je murmurai ton prénom
Sans une seule fois le tromper

Comparaison éléphantesque en
Vérité je suis trop simple pour
Les esprits englués dans l’honneur
De se croire spéciale supérieur si si
Ce paradoxe de base
Persiste et saigne en masse
La tache noire qui coagule à la lumière
Monstruosité bedonnante qui pense
Aux complexes que dalle

Ravageant creux et large chez les siens
Mon histoire de cœur sans fin
Parmi tous ces ‘je’
À la queue meuh meuh

Mise enfin entre les mille matelas retournés
De la face cachée de ta foie
Qui se résume en la peur de mourir
Armée au modus operandi
D’un émméché permanent
Battu d’avance au cœur noir
Sous un chemisier blanc
Switchant la corde raide autour du cou
Avec un sérum assomant

D’amnésie collective pour notre
Sécuritél

En quête d’une bavure de vérité
Au protocole désactivé des ‘moi’
La tête replongée dans la cuve
Régurgitant les équations
Si tu étais meilleure en maths
Tu ne compterais plus sur ‘moi’
Que si tu es seule au milieu du vide

L’abîme, l’absence, la potentialité
Trahit l’essence de chaque impartialité
Je suis un reflet de ton infinie
Collection de personnalités

Implémentez puis mentez
Mentez jusqu’à votre dernière dent
La subversion c’est officiel
Attend salement son tour
En suppléant la chaire
À l’amour collatéral

Des canons sciés
Une fois résolue la cible
Du manque sans issue
Que l’adrénaline lors du conflit
Cantonnera au retranchement
ant pis puisque le calcul s’érige
Approchant à grands pas l’insécurité
De ce qu’il me reste de munition
Pas encore robotisé mais pas loin
D’une lobotomie générale

Pied de nez et roulette russe
Aux flammes endurcies genre Sibérie
Avant la tempête de transparence
Qui ouvrira la réalité telle une conserve
La peur de mourir 101 et la certitude

Basées sur des pronostics décevants
Car fondés sur l’espace et le temps
L’on verra avant la fin que ce n’est
Que le début, une porte qui ouvre
Comme dans un film de science-fiction
Un scénario sans queue ni tête
Ou des êtres: ‘nous en l’occurrence’
Faisons des incursions dans le tissu
De la boucle dont nous sommes otages

Du temps cet éternel ennemi
De l’esprit prenant chaire
Y voir plus clair

Aux raisons de notre démembrement
Trinquons à la défenestration
De tous les agents circonstanciels
Comprenons enfin qu’ils sont une aide
Descendus d’un barreau de l’espace
Intersidéral qui nous sépare
Parfois de nos proches

Venus boire le miel de la vérité
Avant qu’il ne se tourne en fiel
Ou en la une des journaux
Et que le commun des mortels
Efface le sens du mot cadeau
À en oublier de dire Merci!
(“«Il n’y a rien hormis Lui*», ce qui signifie qu’il n’existe aucune force au monde qui soit en mesure d’aller à l’encontre de la volonté du Créateur. Et si l’être voit qu’il existe des choses en ce monde qui nient ‘Pamlia Shel Maala’ (la Cour Céleste), c’est parce que ainsi en est Sa volonté. Cela est considéré comme une correction, qui s’appelle «la gauche repousse et la droite attire», c’est-à-dire que ce que la gauche «repousse» est considéré comme correction. Cela signifie qu’il y a des choses dans le monde dont le but est de détourner l’homme du droit chemin, par lesquelles il est rejeté de la ‘Kédousha’(קדושה).” Extrait de Shamati, article 1 (J’ai entendu) du Baal HaSoulam telle que noté par le Rabash.


(dans le langage de la sagesse de la Kabbale, ce ‘Lui’ constitue les forces féminines/ masculines supérieures qui sont notre système de ‘guidance’ “intérieure”. À mes sens, la notion de force ‘Intérieure’ convient mieux que la notion de “supérieure” à cet autre partie de nous qui se cache tout autour de soi, comme un habit de lumière, vibrant à une telle fréquence que quand cette autre partie de soi se révèle, la plupart d’entre nous sommes confondus au point de penser faire un ‘voyage (astral) ou autre forme de manifestation ‘mystique’. Encore une fois, j’ai bien peur que cela ne soit encore que le résultat de l’ego tentant de de convaincre une personne qu’elle est ‘spéciale’ et joue sur ses peurs.

Puisque dans la réalité dite ‘spirituelle’ ni le temps ni l’espace n’ont prise, cette gouvernance me semble-t’il est ‘parallèle’ bien plus que ‘supérieure’ mais comme pour le reste: ce ne sont que des mots jusqu’à ce que la réalité des mots se révèlent à chacun d’entre nous. Ensuite, l’être fait enfin face au grand secret qui est le secret le moins bien gardé de la Création, tout est Un.

Et ce qui semble êtres ‘des autres’ sont des reflets de notre miroir intérieur. Chaque être est absolument seul avec sa force ‘parallèle’. Deux personnes ne verront jamais la même chose mais il n’y a pas de ‘mauvais esprits’ ni des sectes ‘d’illuminatis’ ou de sorcières ‘mal aimées’ sauf pour les naïfs, les idolâtres ou ceux qui profitent de ce mensonge à des fins de profit.

Exactement tel qu’il est écrit dans toutes les religions: “L’homme est un petit monde”.

Dans le texte basique, la Genèse dit que ‘Au commencement le Créateur créa ‘l’AlphaBet’ (Aleph-Bet) et forts de ce pouvoir, le couple originel fut éduqué en la science de l’utilisation de l’Alphabet au coeur de laquelle l’Abrahadabra signifie:  “Je créé la réalité en assemblant (de différentes manières) le matériau de l’alphabet”. Maintenant, ceux qui savent et vivent dans cette réalité-là seront toujours soit des ‘méchants’ ou des ‘mystiques’ ou des ‘illuminés’ qui gênent l’autre moitié de l’humanité qui refusent l’accès à cette autre partie d’eux-mêmes et au plan de la Création inscrit dans leur ADN (alphabet originel).

Merci de votre infaillible attention!
DanleMiel

Egolution – DanleMiel

‘Egolution’: c’est deux douzaines (25) de pages dans le playbook des moyens du bord poétiques, rasés de près au menton des sept dernières années. La nature remet nos horloges bioénergétiques à l’heure du nouveau Monde en vrac, y’a pas de quoi désaouler, c’est mère Nature qui redresse le lampadaire; bienvenue aux derniers mois de l’An Zéro sur terre. encore heureux que la grille électrique ait tenu jusqu’ici! Citoyen du Globeistan « Libre » Glisse ta glocomotive sur les rails, ton egolution s’occupera des détails. Le 1er Janvier nous serons tous secoués dans notre nowhere historiquement incertains du trou noir engouffrant frénétiquement tout car d’une manière absolue, et avis aux premiers rangs en avant: On se la calme, vous voyez les SWATT/CRS?! Okay!!! Lisez bien les instructions sur mes lèvres maintenant: PAS DE PANIQUE: ok!… D’abord, sachez qu’il y a un ‘seul’ amour… Une ‘unique’ vérité! Deux personnes ne verront jamais la même chose pourtant tout est infiniment unitaire. Au plan encore plus terriblement méchant, de la virulente et imprévisible théorie du complot de la fin des temps tant anticipée entre le Mal et le Bien facilité par l’élite dans ses souliers de croco et limousine à la chaine, l’obscurité et la lumière quoi, etc. Sur le théâtre des opérations, qui est le « Globeistan Libre » bref, seuls deux grands camps sont actifs au front du réel. Un en la tribu du Don (avec ou sans champ de pétrole) et l’autre chez les serviteurs du Fion (avec ou sans champ de patates), les machines à réagir seulement quand ça touche leur porte-lingots et leurs grelots (petites patates). Or, le future lui, comme nous le savons, reste fluide, et seule la connaissance protège alors que l’ignorance met en danger. Elle fait rouler les mécaniques un maximum pour un minimum de résultat…. Comme quoi: Tout n’existe que pour la leçon que l’on en tire. Elle dont il est inutile de couper les cheveux en quatre, puisque ce sont les âmes qui comptent et non les têtes ou corps. Tout est décidément fondé sur du dur et l’avenir prédit beaucoup de sauce Ebola à tous les égouts de la planète telle une arme à déception massive dans son environnement rêvé pour nous ramollir le sacrifice! Sur ce, bon télédéchargement gratuit, sans aucune garantie sauf si vous piratez des alexandrins pour décoder en apéro. Que ça se retourne vite virale car toute folie a en lettres minuscules sur le contrat sa date de péremption dissimulée quelque part dans la formule initiale, mais laquelle calculer quand tout a été savamment trafiqué? Rappelons-nous seulement les incarnations antérieures et parallèles: Michel de Nostredame à Montpellier en 1557? Aldous Huxley, in London, 1959? Georges Orwell, New York state of mind for 1984 way ahead of his time? Il reste encore des surprises dans le chapeau du magicien qui cache sa queue écaillée, à tout le moins une apparition globale des citoyens galactiques, si ce n’est l’invasion des zombies tant promise. D’autant plus que les visiteurs seront incapables de s’adapter à notre manie de tout canarder au tir ami, nos 9mm sous stéroïdes en exercice permanent de la recherche d’imaginaires méchants, de blips sur les radars, de billots de sapins nucléaires pour OTAN que ça remplisse la page de peur. Ça va leur prendre de la compassion pour se mettre à notre place dans la station nucléaire lors du bang final!

 

De Farcebook à Gaargle

En corps et en cadres
De plywood made in Hollywood
Et du pain et des jeux
De Farcebook à Gaargle
Les pressetituées des Merdias
De Mars nous télédéchargent
Leur massage identitaire
En ronds de fumée
Au mois de morse
De l’An Un sur Tarte
(la planète terre est-elle plate?
Ou je m’emmêle dans la pelotte?)
De laine mon chandail favori
Lui qu’est tatoué tel un Maori
Alors que les ambulances
Reculent dans le savon d’abattoir
Des danseuses toutes nutes
Fûment nos pipes à Hachette
Et Gramillard me saigne un tchèque
Tes pitons mon morpion favori
J’ai pas encore commencé
À me retarder sur ton cas
Tu crééra pas ça de’t’à l’heure
Regarde donc sur ton téléphone
Si je serais pas déja dans ta carte
De crédit volé en BéAimeDoubleV
Avec deux trois gars qui chantent
Des osti de platitudes pour les clientes
Du Club des morons en vacances
Permanentes pour cause
D’une infirmité du cerveau
Génétique familliale et à la mode
De chez-nous prends surtout
‘Toutes’ tes médicaments mon tannant!
Dans le Miel (ou DanleMiel pas un film des Charlots)
Pour les durs de comprenure
Et les chanteuses de Crap à gogo
Et autres diseuses de mal aventure
Nommées Brune le sociopathe
Malade et fort dangereux
Ainsi que le sceau dans philo-aime mais de loin
Mon Python de sarpent à sornettes
Exploiteur de vieilles dames
Sur le bord de la traite fermée
Mères esseulées et anciennes blondes
Aux tifs noir comme le soir
Ou aurais-je mieux fait d’écrire SWATT
Des always open closed
Comme ma porte dans la face
Des ti-crass à crassquettes
À l’envers tant que possible
Jusqu’à ce que la Tarte ne s’ouvre
Et nous déploie tous ses diamants
Et secrets au grand air du jour
Qui ne se lèvera pas pendant trois
Loooongues nuits vérifie ton stock
De Krafty Dinner Chef Boyardee
Passsque la Lune te jour des tours
De chapot et de poney dans le ciboulot
Ma blette en plastic fondu
Comme le fromage Suisse
En croque mitaine sous ton lit
Marci
On se rappelle Lindi Yo
Le Gros
Le king d’en haut
Ta sacrétaire as-tu toute noté?

leMiel_Dan
Frontalepoésie

Devrais-je pèter ou contrepèter

« Si je ne suis pas pour moi,
Qui le sera, et quand » – הלל הזקן
Hillel Hazakem

Ces temps que j’ai tant attendu
Soufflent enfin leur venin sous ma porte
Tout à l’heure il va venter fort fort

Et beaucoup de poux vont se faire emporter
Par la tourmente qui gronde
Les éclairs qui vrillent le ciel

En plâtre lézardé de miel auto-adhésif
Les autres petites abeilles
De la ruche que je squatte

Mènent une bisbille de l’enfer sans climatiseur
Je vois bien que tout aurait du péter
Avant-hier mais je n’étais pas prêt

Pas tout à fait prêt or là
Ça y est, j’ai rechargé le calibre de beats
Acrocheurs et mon catalog instrumental

Buzz de visiteurs curieux
De savoir pourquoi toute cette activité?
Ils tournent autour du poteau de l’écran

Alors que leur laisse rapetisse et
Qu’ils commencent à trouver cela étouffant
Je voudrais pourtant les réconforter

Mais il n’y en pas un pour sauver l’autre
Je vaque donc à mes petites occupations
Saines et constructives

Comme on reconstruirait les Tours
Sur Manhattan en mémoire
De notre ignorance crasse…

DanleMiel, pas Charlie, ni même Charlot!

DanleMiel: Égolutionnaire

Jeux de coquilles

La Pensée créé la matière
l’information l’assemble
en une image cohérente
ou non

Tel en haut tel en bas
Il y a le jour il y a le noir

tel en haut tel en bas
nos actes sont le résultat
de nos pensées
parsemées dans du future

de l’autre côté du mur
alors que ce sont les âmes
qui comptent
et non les corps

il y a un seul amour
une unique vérité
deux personnes
ne verront jamais la même chose
mais tout est infiniment unitaire

tel en haut tel en bas
tel en haut tel en bas

mystère et boule d’opium
dans la fumée je perçois
suspendu dans l’air
un écran pour la leçon

au collège invisible
l’univers se résume
en deux divisions
l’énergie totale
suivie de sa perception

imaginez deux étincelles
une grande qui semble quasiment une étoile
contenir tout le potentiel d’énergie

en haut tout en haut
innommable vide
au-dessus de la grille
par où le courant passe

pour que les étincelles
cascadent en triant les atômes
pour la cascade quand
l’information se fait matière.

Chaque entité est l’auteur de sa propre création

« Chaque entité est l’auteur de sa propre création. Il est vrai que certains points de référence sont communs à la plupart des créations des gens, notamment certaines données concernant la société et la culture dans lesquelles ils vivent. Cependant, la création de chaque entité lui appartient en propre. Les inclinations qu’elle encourage dans sa vie deviennent les tendances de son propre monde. Les entités sont des gens de grand pouvoir. Elles font partie du principe divin. Toutes les entités, même les éléments, les animaux, et toute la nature, ont ce pouvoir. Mais toutes ne savent pas qu’elles l’ont. En conséquence, elles en font usage sans effort et sans aucune impureté, étant incapables de modifier leur nature, et capables seulement de la suivre.

Vous, en tant qu’entités conscientes, vous avez une plus grande aptitude à créer, parce que vous avez conscience de vous-mêmes. Vous avez conscience que vous êtes des êtres en train de chercher. Vous avez une fonction d’observateurs. En fait, de nombreuses entités ont une fonction très complexe d’observateur, dans laquelle l’observateur observe l’observateur qui observe ce qui se passe. Vous pouvez susciter une grande complexité dans la façon dont vous percevez les choses et dans votre choix de points de focalisation.

En conséquence, votre création particulière présente parfois une spectaculaire différence de coloration par rapport aux créations de certains de ceux de votre entourage, dans votre expérience quotidienne. Lorsque vous avez acquis le sens de votre propre pouvoir et que vous décidez d’utiliser correctement ce pouvoir, vous devenez une force qui dépasse le cours normal de l’énergie humaine. Parce que vous vous êtes éveillé à votre propre potentiel de créateur de votre propre univers, et parce que vous avez commencé à vous mettre à créer cet univers comme vous sentez que vous souhaitez qu’il soit, en agissant d’une manière éthique à des moments choisis, vous vous mettez à développer autour de vous une énergie qui est celle non seulement de votre personnalité, mais aussi celle de la création imaginée que vous faites naître dans votre vie.

Par conséquent, dans la mesure où vous êtes entré dans ce développement conscient de vous-même et de votre création, vous ne travaillez pas seulement pour vous-même, mais au niveau de l’énergie planétaire. La situation n’est pas que ce que vous pensez devient quelque chose que d’autres pensent. En fait, la vibration qui soutient votre travail irradie, comme le ferait la lumière d’un phare éclairant au loin la mer sombre et houleuse.

Quand vous permettez à votre lumière et à votre univers de briller, vous poursuivez, dans votre essence, l’un de vos objectifs les plus profonds: changer et faire glisser la conscience au niveau planétaire. Nous voudrions souligner qu’à ce niveau-là de perception nous ne parlons pas de choses qui peuvent être montrées et être mises en mots. Nous parlons d’un changement de point de vue.

Chaque entité regarde le monde d’un certain point de vue. Avant le début du processus d’éveil ce point de vue est indiscutablement limité. Les préoccupations de l’animal instinctif que vous êtes, en tant que descendant de la famille des grands singes, sont des préoccupations concernant votre famille et votre tribu. Vous souhaitez qu’ils soient bien en sûreté, bien vêtus, bien au chaud, et bien nourris. Vous souhaitez rassembler les ressources dont vous aurez besoin pour eux, et en suffisance. Et si vous avez le sentiment qu’ils sont en danger, vous voulez les défendre.

Ce sont là les grands os du squelette des préoccupations typiques de quelqu’un qui n’est pas éveillé et qui fonctionne comme un membre de la société dans son ensemble, sans se soucier d’aucun des aspects spirituels de cette vie ou des pensées qui surviennent. C’est pour cela que votre travail, bien qu’il soit fait en privé et pas nécessairement mis en mots, est un travail magique, puissant, et très digne d’être accompli.

Il y a un niveau entièrement différent, qui est une transition entre le premier niveau et le troisième. Ce point de transition est un point auquel la situation concernant vos considérations planétaires est notée. Au cours de la discussion générale qui est de coutume avant ces méditations, cet instrument et d’autres de ce cercle de recherche ont parlé de la manière répétitive dont nos thèmes les plus fondamentaux se reproduisent. Ces thèmes sont des thèmes d’empire, qui ont prédominé tout au long de l’histoire de cette planète particulière. »

11 février 2007 /Source:  http://www.llresearch.org/transcripts/issues/2007_french/2007_0211.aspx

De l’illumination

La fin d’une rechute compte-t-elle pour une forme d’ascension? Vais-je au moins monter un petit peu plus haut que le sapristi de plafond? Savantes docteures en sarrau si blanc que mon sang causerait bien du malheur aux finances de vos valeurs en larges flaques bleues sur tout ce qui bouge plus vite que le rouge Mon ordinateur a tellement de virus que ne me regardez pas pour la puce c’est au clavier que vous devrez au moins parler pour passer par moi sur le chemin de l’au-delà Mes désignés médocs à neutrons captateurs Même si en manque de dope je voterais plus pour de la ‘free rope’ que de la ‘hope’ de pestiféré Pour l’arrivée des Swatt en savon d’abattoir bancaire prêts à décapiter la récolte avant les puces dans le cerveau Nous venons d’en parier pourtant que vous m’avez déjà eu souvent mais maintenant J’ai la tempête de morphine l’entre deux mondes du Fentanyl avec des Dilodids  en attendant le smack pour voir le début et la fin du début passer date dans mon jeans le cycle qui recommence et nous qui émergeons de l’autre bord intacts déchirés à l’accoutumance de se servir « first » par le califourchon du cou avant de nous finir au gun a clous Il me reste encore quelques abus quelques bogues à déboguer sur la planète des singes des à faire chier avant ma dernière non pas heure mais demeure étant le type là pour le dernier mot du météorite qui fera splat! Vers la fin des hostilités ce sera comme un éternel été malgré la glace partout quand les endormis auront compris que y a jamais eu de pays ni de conflit juste un contrôle de la populace par un gang d’entre les densités et que le clou est finalement cosmique mais pour  beaucoup avant la fin ce sera moins comique Ce matin la police continue de tirer sans retenue sur les passants au Caire faire ses courses est devenu plus dangereux que le cancer aux états désunis on nous propose pour nous débarrasser des déchets nucléaires comme on le fait pour les autres déchets industriels mais au lieu de les glisser subrepticement dans l’eau ou la nourriture On propose de les saupoudrer dans l’air à bord d’avions ordinaires La fin d’une rechute compte-t-elle pour une ascension? Rechute dans la bêtise par exemple? Le chemin de croix commence à genoux en bande de tabarnaks de survivants d’Apocalypse avec des inondations qui flashent les tracks vont régurgitant les locomotives le feu pognera dans tout ce qui se brûle pour finir dans la pluie comme si une pluie de feu si même le gouvernement vous le dit vous allez croire que ça se peut trois années de mauvaises récoltes cet hiver le prix sanglant de la révolte grondera comme onde pendant ce temps-là la guéguerre sur le Mont-Réel toujours dernier à regarder la fin qui tombe du ciel Il nous manquera tellement de tout que même les virgules se feront rares Ou si vous préférez Matthieu, le pote de Jules César qui en se faisant passer pour l’apôtre d’un Jésus dit: « En ces jours-là, les hommes se marraient et mariaient leurs filles, Le déluge vint et emporta les hommes ». La fin d’une rechute compte-t-elle pour une forme d’ascension? Les comètes se fragmentent pour nous envoyer leurs vœux alors que la Nasa mettra terme au programme d’informer le public sur les météorites se dirigeant vers la Terre dès le 1 er Octobre Fini les lumières mystérieuses en Australie Les boules de feu sur Memphis et le Tenessee Circulez: rien alors-là, absolument ‘niente da vedere cui’ Nous sommes seuls pourtant Avec nos yeux À savoir ce qui se dirige vers nous À mesure que la pluie de corps célestes, de virus interstellaires et de maladies s’installeront comme au Moyen-âge Le sujet deviendra carrément tabou! Les survivants seront brûlés sur des bûchers alors que la force de la nature nous ramènera vers le modèle des cavernes sur le plan hypothécaire!

Jour extrême

Vers l’extrémité du jour quand intempestive
tu roucoules et me foudroie en travers l’horizon
vers la crue noire d’étoiles
alors que nous cautérisons des blessures
millénaires à grands coups de chuchotements
qui signent la fracture qu’il nous reste à panser
par ce silence hurlant sa douleur enfantée
qui te désagrège sous mes yeux

J’aurais tant désiré te guérir
et du mensonge qui ronge tes globules
et de la maladie du temps
diluant mon sang d’encre
mêlé au tien malgré la débâcle
je plie encore plutôt que de
te faire briser les ailes de cette liberté
consistant à fuir le mensonge
au plus anodin mystère croissant

Il y a de ces crises dont je préfère
laisser à l’univers le regret de te montrer
le chemin du retour à la case départ
et le soin de te secouer la cage
avant que de te plonger dans le vide
recouverte d’un puérile plumage
incapable d’apprécier la multitude
de possibles en liberté

Et puisqu’il ne nous en reste qu’une
vas-tu enfin traverser ces barreaux
avant le dernier grain de cette année
au bout de laquelle nous ne reconnaitrons
ni la planète ni ses fantômes errants
tels les esprits égarés dans un tunnel
duquel émergeront nos pires cauchemars
travestis en le seul avenir possible
sur les vestiges de notre inhumanité

Au jour de l’ordalie à la seringue souillée
je me tatouerai un X rouge
sur la nuque de toute éternité
pourvu que ce morphine mambo
nous ensevelisse loin du discours
que les paroles sillonnent à pic
avant leur perpétuel retour pour un ‘replay’
depuis l’obscure sillon de terre tracé
depuis les cavernes jusqu’aux gratte-ciels

L’inconséquence biblique se fera nôtre
malgré toutes les chances offertes
pour purifier l’esprit au lieu de l’écraser
telle l’insecte avec un nombril greffé
à la place des oreilles cosmiques
qui elles préféraient refaire cette classe
avec la débutante civilisation prochaine

Ou comme les québécois disent:
‘À la prochaine chicane’

– 18 juillet 2013 –

L’Âme à l’arraché

Garantie d’une collision
avec la réalité augmentée
l’ondulation créatrice pure
qui déchirera en masse
quand le soleil enfin

Se révélera comète
notre visa d’union intégrale
le contrat ici stipule que ça
nous reconnectera le canal
au point que ça saurait nous être égal
sur le dos de l’éternité
que d’avoir à glisser longtemps

Avant de se reconnaître
et d’être tarabiscoté
de l’horreur et honneur
de revenir des chez le future
d’où nos ancêtres en rangs

Biens serrés d’abord lézards
te font la bise sans leurs corps
via leurs anges multiformes
de la face la plus cachée à toi
à tes côtés ton quota d’émotions
divisée en information l’énergie
leur sert de sang, merci!

Quant à notre biologie clonée
cette pulsation cosmique est leur
nous magnifiques fourmis
inutile de chercher plus loin
demande tu recevras!

Harnacher sa grâce
déborder notre fondation
élargir encore et encore
seul et salement difficilement
le tunnel pour que s’élève
percutante l’étincelle
nous hissant l’esprit

Depuis la leçon
en mode post-catastrophe
le redressement des pôles
du haut de ses baskets
lumineuses, le supérieur

Fournit de la matière
en locomotive à réflexion
au convoi sur le point
de s’enrailler à l’autre côté
du rubicond

À moi maintenant de traverser
sans trop nuire à sa perfection.

danleMiel
12.07.13

OTAN le beat change OTAN c toujours le même refrain

OTAN c toujours le même refrain

Avant de les vaporiser
Comment un peuple
Serait-il plus difficile
À faire avaler le vol 93
Qui disparaissant dans une craque
Dans un champ en Pennsylvania
Sur les lèvres MOSSAD
De la maîtresse chanteuse
Ventriloque sortant
À la pelle des lapins
Pas en chocolat non
Et des arc-en-ciel
Ensanglantés
De son chapeau de fiel
Juste pour voir
Au-dessus de la loi
Si les promesses
Tiennent encore?!
Ou simplement le résultat
D’une étude de long souffle
Sur des rats de laboratoire
Laissés à leur obscurité
Maintenant qu’ils nous ont armé
Une grippe parfaite
Deux ou trois ajustements
Avant le dernier acte
Qui scellerait notre destin
Aux mains de ces crétins
Consanguins et imbus d’ego
Démesuré pour l’éternité
Mais il y a toujours un
MAIS
Ils sont peut-être le Frankenstein

Hommenivore ils sont court-circuité
Du point de vue de la nature
Et c’est bien parce que leur plan est foireux
Que la nature va leur mettre
Un seul bâton
Dans toutes les petites roues
Qui font tourner les plus grandes
Roues qui tournent
En matière vivante
En réalité vibrante
Parce que au début
Il n’y a pas la fin
Tout recommence à l’intérieur
De la bulle
De ce qui Est
Depuis une vingtaine d’années
La petite soeur de notre astre nommée Soleil
Une ‘naine brune’ a pénétré le système solaire
Et la planète
À cause de la masse
Dans son champ
A entamé une transformation
Nous pourrions dire
Que la gravité est sur le point de se
Redéfinir.

Étincelles de fureur

Égolutionnaire – 1

Sous l’horizon lacrymogène
L’austérité impose un éclairci
Au bout de sa laisse la civilisation
Coagule sur un semblant de sensation

La prochaine mission saigne
Son hurlant feu de clarté assassine
La comète va nous brûler la crevaison
Jusqu’à l’origine de notre source tarie

Si nous remontons à la fameuse source
Ce sera blindés de solide insoumission
La croix de la racine en berne
Autant dire heure zéro sur terre

Après la peau les os
Et ce fichu bordel d’organes à dématérialiser
Autour de l’egolution spontanée
Nous nous immolerons pour le fun

Faute de temps notre illusion
Flambera comme un dernier prix
La crise un vent de changement
Brassera des particules de conscience

Installe ton corps en plein campement
Marie l’attribut sous le firmament
Déleste l’étau du singe savant
Ouvre ton cœur comme une mission.

Languissant morphine mambo
Vers un matin qui dure l’éternité
Détecteur de manque de watts
Capteur de soudaine catastrophe

Caresse-moi en dents-de-scie
Rassemble tous les points sur un seul i
Branche mon fil dans le mille
J’ai un gros gros trophée à décrocher

Décapsule-moi l’écorce d’érable
Le temps de valser une tornade
Caresse-moi en dents-de-scie
Rassemble tous les points sur un seul i

Scie mais scie égale la branche du signe
Tel un singe sniffeur de slack
J’ingurgite la parade annulée
Entre tout ce vide et la clarté

Embrase tout ou redonne moi la vie
Pardonne-moi mes crimes mais dans ton lit
À la commissure écartelée
De tes lèvres criant Freeze !

Belle comme une parfaite crise
Battant des cils en forme de barreaux
Compresse-moi entre tes replis
Donne une chance à ce vieux mal pris

Brille scintillante étincelle
Faisceau de défoulement aiguisé
Qu’un de mes vers te morde le tibia
Calvaire de prise d’otage filiale

Ligne sur du détonateur en gros
Vienne la peau déchirée sur le dos
Et la vague que tout aspirera
Par le chas du mur de cris.


Le Dessus sur son opposé – 2

Nos naufragés émergent au cœur de la tourmente
Armés seulement du verbe aller
Dont les experts ne savent quelles conclusions
Encore tirer, sinon que tant qu’à tirer

Tirez sur quelqu’un d’autre, ceux-là savent
Qu’on peut même pas les torturer
Après un accident jugé mortel soit disant
Ils se réveillent dans cette étrange réalité ici

En priant que cela ne revienne à la normale
L’âme dans ses nouveaux habits module la formule
Prépare le curriculum qui servira de sérum
Pendant que le corps croupira épuisé

Grommelant soudain la langue du sauvage
Culture et refrain de cet alentour conditionnel
Alors que la partie du corps avec des ailes mènera
Sur plusieurs plans sa conquête parallèle

Dans les couloirs d’un collège transparent
Somme des sens tournés vers ce cœur brisé
Perdu dans l’encre du créé, à chacun le sien
Tels des détails que l’on rêve d’oublier

Aussi vrai que god admire ce qu’il a créé
En clouant sur son passage de terribles atrocités
Toujours à titre de conseil amical virtuel
Dessoudant la pays plutôt que de le labourer

Savoure à fond combien l’amour détruit
Ensuite tu auras ta licence pour créer
Ça ne lésine pas sur les décimés, la vérité
Aussi vrai que l’injustice bosse chez les anges

Qui suivent son cours au suivant suivant
Le verbe aller décline peu à peu de conjuguer
Sauf au-dessus du donnant-donnant
Dans une alliance contre nature

Régurgitée par le corps comme un s.o.s. car
Il y aura toujours de la fracture à essuyer
À chaque instant présent tu choisiras
Pourtant uniquement toujours

Entre l’Autoréalité pleinement assumée
Signifiant de distinguer entre ce “quoi” que tu es
Et tous les autres “quoi” flottant dans la clarté
Là quand plus on accepte de changer

Plus la Lumière intercède et nous en fait suer
Bref la création sans ton consensus
Telle que tu l’as toujours subie
Ce ne sera plus ta tasse de thé

Vrai comme god répare tous les pots
Inutile de tergiverser au retour
À genoux nus pieds sans chapeau de cowboy ni Cadillac
Embrasse au retour d’exil ta propre crasse presto

Signifiant que si toute l’humanité est en moi
Il y en a plusieurs à qui je demande pardon
Les gens qui t’entourent sont ta tribu
Ding ding mise à jour le programme

Marie-toi vite sinon t’es Next ! au poteau
(ahaha… genre le diable dans le fond,
mais il a raison ce sacripant)
Va te montrer de quoi tout es capable

Quand tu t’y mets épais sur la beurrée
Entends-tu les hélicos dans le claquement
Des bottes au bout d’une laisse
Quand tes miradors aveugles

Auront suffisamment sué
La bile de l’immondice d’iniquité
Auras-tu assez dormi sous le phare
Depuis que le pont se sera écroulé

Pour accepter ton prochiant degré
Qui lui ne se limite pas au 3D
Aussi vrai que god est seul en toi
C’est rien que lui qui veut te niquer

Sous toutes tes coutures au moins
Ou exactement l’inverse sachant de qui ça vient
Là quand plus on s’efforce de se rendormir
Plus le rêve prend le dessus sur son opposé

Regarde moi bien cette table mon ami reste
Goûte à la terre ma parole du ciel décanté
Aussi vrai que la catastrophe va débarquer
Pour te servir de réveil matin

Tsunami volcanique et revirement de fonds de retraite
Saoul sous la table de la taverne
Que peu à peu tu te redresse
Géant longtemps oublié dans la caverne

De l’allégorie de Platon
Tout de même pendu au fil
Qui te relie à la clarté
Là quand plus on s’efforce de se rendormir

Plus le rêve prend le dessus sur son opposé
Là quand plus on s’efforce de se rendormir
Plus le rêve prend le dessus sur son opposé.


L’étincelle qui dure – 3

Une fois le casque protecteur sorti du radis
Au bout de deux poings crispés que notre Adam
Cognera sec dans le sac de sable de la raison tant pis
Telle une mécanique grinçant le gré du fiel

Condamné à la défaite consistant à continuer
Sur l’ultime bouchée qui se casse une dent
Un pied dans le vide du ghetto de l’ego
Et l’autre sur une plage pétante de clarté

À s’en demander ce qu’il comprendra
Ou si même à comprendre il y aura
Une fois labouré le quadrillé de plaisir
Saupoudré d’une droiture spéciale

D’une qui réussit à broyer les os avant la fin
Au joueur de mascarade même bien élevé
Mutuellement dans la luxure en carats
Et la plus solide décrépitude réaliste

Refrain:
À même l’étincelle qui dure
Dans la pénombre du créé
Viens vite prends moi la main
Ensembles sur le prochain degré

Les autres nous rejoindront demain
Au poteau du sacrifié d’avance
L’exposé au radium tout cru en soi
On dresse la liste de ce qu’il saisira

Cochant aussi les “définitivement pas”
Sinon comment mesurer la formule
Au sommet de sa houleuse bassesse
Carburant au présent circonflexe

Formant et déformant de la matière
D’un plateau l’autre en dent de scie
Jusqu’au jour ou le masque tombera
Avec l’effet d’une mine à retardement

Pile dans la cour d’école, heure de la récré
Dont les dommages seront ma foi: “illimités”
Au point qu’on ne se demandera plus “qui souffrira?”
Plus tard tout nu et sûrement estropié au pied du mur

Du mur du Don “de soi”, il va sans dire

Refrain:
À même l’étincelle qui dure
Dans la pénombre du créé
Viens vite prends moi la main
Ensembles sur le prochain degré
Les autres nous rejoindront demain

Ça régurgite au singe ses propres grimaces
Dans un habit de Lumière encore sur Off
À celui qui s’éveille ou celle selon: vieux, jeune
Ne m’appelle pas une ambulance bientôt

T’auras besoin de moi d’un fauve en tôle calme
Un qui sent le rassuré comme de la ouate
Intérieur qui flashe signé par le gars des vues
Armé d’une éternité à te consacrer d’avance

Dans la politique du coeur ouvert
L’amour est un pays jamais tout à fait conquit
Nous et les alentours sommes un ion
Poursuivis par le gros nuage couleur d’union

Prêts à muter au prochain carrefour
Qui bat des cils juste pour nous voir
Nous tenir la main dans une autre vie
On se demande s’il nous convaincra

Que cette alliance s’adresse à nous
Et que nos corps seront les derniers invités
Au mariage qui casse l’assiette du voile
Au-delà duquel ce monde nous appartient

Refrain:
À même l’étincelle qui dure
Dans la pénombre du créé
Viens vite prends moi la main
Ensembles sur le prochain degré
Les autres nous rejoindront demain.


Réparation – 4

Dans le petit matin fourchu
nous avançons à reculons
revenus d’exil une seule tribu
et nous enfonçons le pilier

au bout de toute peine bue
carré dans un trou rond
nos os cassent comme
une dent pourrie par le pognon

le dernier trognon de pomme
un vent qui sent l’oignon
les caravanes en feu s’enfilent
l’aiguille d’un ultime tango

caresse ta crasse qui passe
avant le couteau dans le dos.

De l’autre côté du temps
ce ne sera plus ce monde ou rien
ni le désert ni la nuit
fini les ombres sans répit

de poussière et d’insomnie
menottes au cou le singe savant
longtemps que je t’apprends
une barre bandée sous les gonds

de la porte blindée en Ohr
qui clarifiera notre Divinité
que ton phare éclairera mon pont
entérinant notre mission au trésor

le cœur en furie et la joie aux poings
ensemble comme un blindé
à l’issue de l’ultime tranchée
ivre à la victoire du verbe: Aller!

Le soleil crache sa trace
au pied l’Amour un mur en plein
sevrage de tremplin pure saut
dans le vide sans filet de Toi

nous sommes allés nous perdre
pour ne jamais se retrouver
saigné la moelle amère à l’os
sur le fil rasoir de solitude

jeune femme nommée Judas
tatouée sur de la vitre cassée
pourrait être la fille au serpent
sur les rails de la sornette
à gogo ou à vapeur
dans la mesure ou qui perd
gagne aussi plutôt rien.


Sale boulot – 5

À force de camper devant la porte
Les artères trafiquées d’années fortes
J’aurai surfé la vague d’aucune vérité
Passé le test sur le banc de scie

Plan secret des écrans permanents
Plugué au collège transparent
Que commence la leçon de clarté
En attendant rien qu’on obtient tout

En attendant rien qu’on obtient tout
Milieu de la nuit sans concession
Éveil brutal cause d’explosion
Le coeur qui monte aux barricades

Pour te montrer ce qu’est le cube
Dans lequel tu le garde prisonnier
Ainsi que comment s’évader j’espère
Pour ma part bientôt dématérialiser

Vu que plus haut ne veut pas de ma peau
Je ferai de la poussière de mes os
En attendant rien qu’on obtient tout
Alors que la chambre et le reste de la rue

Étaient d’une drôle de manière disparus
De bord en bord la fin du monde, j’ai vu
Que le début du bon bout somme toute
Est une forme en tous cas inversée

Le reste c’est du bluffe même ta bio
L’Apocalypse rien qu’un test
Voici l’heure venue du vrai boulot
En attendant rien qu’on obtient tout.


Vers chez les mutants – 6

Au pied de l’incident
À mesure que tout se rejoint
Que tout se rassemble
En un hic singulier paradoxe

La nature suit son plan
Initiale perfection
Le flot des connexions entre nous
Va coaguler plus serré d’un cran

Déchirer au moins des vêtements
Et noyer le dernier chien savant
Ensemble partout à la fois
À mesure que l’on se rejoint

Les murs vont tomber
Des villes vont brûler
Un déchirement par en dedans
À présent tu le ressens

Tous les compteurs veulent zéro
Sur la photo moins une dent
Diagnostique sans éclaircie
Tsunami de cancer en série

Tu t’accrocheras à l’écran
Qui supplante le corps
Notre point veut monter
Sur l’échelle des degrés

Plus subtiles que l’espace
Et rapides comme le vent
Se perdre dans la sensation
S’accrocher à la vague

À la montée qui revient
Vers chez les mutants
À mesure que tout se rejoint
Que tout se rassemble

En un point singulier
Vers chez les mutants.


Sous la peau – 7

Bombe à retardement de chair
La souffrance pue le mensonge
L’amour sa seule condition
Va te torcher ton mess

Presque en retard sur la haine
On remixe ta correction
Boucles de genoux ensanglantés
Cocktail aux échardes de vers

Coursant en feu de par les rues
Médicamentées sous neutrons
Faudra que ta pression monte
Qu’une crue d’hallucinés dévaste

Qu’on saigne des ambulances
En y perdant son drapeau blanc
Faudra que tu pues avec ça que
Tu te rues dans les brancards

Afin d’atteindre la fission finale
Telle une tribu intégrale
Puisque le monde, l’univers est toi
Toute la réalité est toi

La ville, le pays, le monde
L’Univers et ses soeurs siamoises
Toujours sur des fréquences parralèles
Nous sommes à l’intérieur de toi.


Pea Soup Messie – 8

Une cuillère de bois au chaudron masqué
Tamtame son intention mauve crépuscule
Pendant que la tragédie démembre à la pelle
Une infinie lézarde dans le mur du vent

Du prédateur au cercle vivant
Le serpent qui se mord la queue
Saigne sa ligne de vie ici
Avant la fin du pétrole ou l’épilepsie

Depuis le trou qui mue Montréal en arrache
Allons nous nous unir ou nous immoler
Pour le fun d’être né à en mourir pieds nu
La roulette russe au Temple de la dénommée

Hors-temps qui hurle ‘strike out”
À la prochaine manche d’Eden qui batte
Comme on souffle dans le dos d’aucun drapeau
Qui vaille le détour d’être tarabiscoté

Le sourire moins frimeur qu’un badge
Déconditionné aux nuages de fond
Tremplin cosmique chaque fois Créateur
Tend la courte-échelle

Entre les pulsions qui re-bootent
Le disque mou du coup monté
Oint au cri du krache tartempionnier
De tout ce qui reste à mesurer

Sur de la piastre en papier cul
Nous torcherons l’échelle des mals tombés
S’il nous faut en crucifier quelques uns
Ce seront des moignons prématurés

Surfez surfez les flots de l’Abandon
Qui vient après un bon coup de matraque
Longtemps faite l’artificielle respiration
Au système suicidaire du trépassé

Soit sauvons la dernière dent
Ou flippons le mouroir du paradigme
Apprendre l’islandais exemple en accéléré
Ne t’inquiètes ma foi de rien du tout

La tempête déchirera le ciel si vite
Que les cloches carillonneront leur retard
De tous côtés germera son nom
Prononcé avec un accent insérable:
“Pea Soup Messie!”


DanleMiel 2013-14 Montréal
Étincelles de fureur – 1

eBook gratuit pdf: Étincelle d’Or, de DanleMiel Guimond, iMédias Frontalepoésie 2014, Montréal

Quand ils ont chanté – Egolution

Quand ils ont clamé :
Repens, repens-toi,
Je me demande ce qu’on comprenait,

Quand ils ont crié :
Repens, repens-toi,
Je me demande ce qu’on entendait,

Quand ils ont hurlé :
Repens, mais reprends-toi,
Je me demande ce qu’on espérait.

Quand ils ont balbutié :
Pardonne, pardonne-toi,
Pardon d’avoir cru,
Pardon d’avoir douté,
Je me demande ce qu’on saisissait.

Quand ils ont susurré :
Remets, remets-toi,
Remets ton collier,
Remets ta vie en laisse,
Je me demande ce qu’on percevait.

Quand ils ont chuchoté :
Permets, permets-toi,
Permets-toi le noir,
Permets-toi le blanc,
Je me demande à quoi l’on pensait.

Quand ils ont braillé :
Excuse, excuse-toi,
Excuse-toi pour tes fautes,
Excuse aussi celles des autres,
Je me demande ce qu’on écoutait.

Quand ils ont chanté :
Refais, refais-toi,
Refais-toi un jour,
Refais-toi une nuit,
Je me demande ce qu’on imaginait.

Quand ils ont bramé :
Repens, repens-toi,
Je me demande ce qu’on retardait.

Quand ils ont beuglé :
Repens, repens-toi,
Je me demande ce qu’on prévoyait.

Quand ils ont rugi :
Repens, mais reprends-toi,
Je me demande ce qu’on attendait.

(paru sur: AMOURS DE TRAVERSE, oct 2007)

NB: Chers amis auteurs francophones, je comprendrai peut-être un jour mais n’accepterai jamais pourquoi les français insistent à chanter en anglais? Franchement! Et pour beaucoup, c’est pathétique, les anlgais ne vous écouteront pas, il vous manque quelque cours par correspondance-là, sorry les amis! (JE TROUVE QUE ÇA FAIT plutôt FAUX-JETON, BON C DIT!!)

Quand j’entends des textes qui seraient formidables dits dans notre langue mère massacrés dans le jargon de ShakeTheSpear ça me revire la gorge à l’envers! D’autant plus que, et je te parle par expérience (vécu: Miami 1970-75, France (Montpellier-Paris) 1980-84, Dublin 1984-88, Vancouver 1988-94) car depuis que je suis revenu me cramponner au Québec il a déboulé des milliards de pistes depuis la France par des auteurs/ chanteurs qui comme on dirait se veulent plus catholique que le pape! Nous n’avons absolument rien à envier à l’anglais, et je sais que les anglais adorent écouter nos textes, même entouré de leurs amis, même quand aucun n’y comprend un traitre mot! Ça leur donne un air de supériorité et attise leur curiosité! Okay ma séance de ‘bitchage’ est finie! Merci! BE YOURSELF & KEEP IT REAL!!