BRULÉ D’ESPOIR AU 3IÈME DEGRÉ

J’ai longtemps attendu

De l’écriture qu’elle me vienne

Plutôt que de la provoquer

Je l’embrassais dans le cou

C’est cela que j’aimais

Faire de ma vie dans ses bras

Puis un jour elle a laissé retomber

Ses chouettes lunettes fumées

Sur l’arête exquis de son nez

Depuis je suis condamné

À vivre les années lumières

Qui me séparent de nos souvenirs

Savamment enfouis

Contraint je suis, de te dire

Qu’entre nous toute étroitesse a fuit

Et que pour le reste

Ma mémoire reste amère

Mon amour c’est toi

Que j’aimerais faire de ma vie

À présent, crois-moi.

2 commentaires sur « BRULÉ D’ESPOIR AU 3IÈME DEGRÉ »

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